fév 232016

CHAPITRE 12


Je rencontre mon nouveau maître.


Résumé du chapitre 11 « Soirée poppers chez une travestie dominatrice..» :Sur internet j’ai fait la connaissance de Maîtresse Shalimar, une travestie très dominatrice qui me fait venir chez elle et qui me fait la sucer une bonne partie de la nuit en me faisant sniffer du poppers. Je suis très chienne sous poppers, j’en prends régulièrement et j’adore ça. Puis elle fait venir chez elle Nadine, une autre travestie et nous nous gouinons longuement, juste caresses et fellations, pas de pénétration.

Je suis revenue à Quimper depuis deux ans, j’ai maintenant quarante ans, j’ai repris mes activités de pute, je rencontre pas mal d’hommes, certains sont dominateurs mais je n’ai pas retrouvé de maître attitré. Un soir, sur un site internet je dialogue avec un homme de cinquante cinq ans, il recherche une pute travestie soumise et très exhibitionniste, exactement ce que je suis et ce que j’adore être. Il recherche vraiment une pute dans le vrai sens du terme, il veut faire se prostituer une soumise dans un fourgon ou un camping car. L’idée me plaît beaucoup mais il me met en garde, il ne cherche pas juste une salope qui aime se faire baiser, il recherche une pute qu’il pourra vraiment mettre au tapin et cela presque tous les jours ou tous les soirs. Nous discutons plusieurs heures et, vers deux heures du matin il m’ordonne de me préparer et de venir chez lui, il veut voir ce que je vaux.

L’homme se prénomme Jean, il a quarante cinq ans, il habite une maison à la campagne. Il m’a ordonné de venir chez lui habillée très pute : bas résilles, string, guêpière, micro jupe, le tout en noir, faux seins, chemisier blanc, perruque brune, cuissardes avec un manteau de fourrure par dessus, maquillée très pute : beaucoup de fond de teint, de fard à paupières, sourcils bien épilés, longs faux cils, rouge à lèvre vif et ongles vernis rouges. Il me faut une bonne heure pour me préparer. Je suis un peu inquiète, il paraît très dominateur et savoir ce qu’il veut, moi ça fait de longues années que je n’ai plus vraiment été soumise et dirigée, j’ai peur d’avoir un peu perdu certains automatismes.

J’arrive chez Monsieur Jean, je me gare dans la cour, sors de ma voiture et sonne à la porte, il m’ouvre, c’est un bel homme, grand, élancé et sportif. Monsieur Jean me fait entrer, il me retire mon manteau de fourrure et me fait asseoir par terre à ses pieds devant lui, lui s’assied dans un fauteuil. Je semble lui convenir :

  • Voilà donc la petite pute soumise qui accepterait d’être mise au tapin, j’ai le sentiment qu’elle ne sait pas à quoi elle s’engage !

  • Peut-être, en effet Monsieur, mais j’ai vraiment envie d’essayer et de voir si j’en suis capable et si cela me plaît et me convient.

  • Je n’en ai rien à faire que ça te plaise et même que ça te convienne et, si tu le fais ce n’est pas pour essayer, réfléchis bien, ce que j’attends de toi est très difficile à tenir sur la durée.

  • Bien Monsieur.

    La discussion dure un bon moment, Monsieur Jean veut savoir ce que j’ai vécu avant, ce que je suis prête à accepter et surtout il veut fixer ses conditions et préciser ce qu’il attend d’une pute soumise à son service. Tout au long de la discussion, il prend petit à petit un ascendant psychologique sur moi, je me croyais assez sûre de moi au départ compte tenu de ma grande expérience et je me sens maintenant totalement démunie devant les arguments d’une personne aussi déterminée que Monsieur Jean. Au bout d’une heure, n’étant pas du genre à rester discuter, il dit d’un ton autoritaire :

  • Ça suffit maintenant j’en ai assez de discuter, lève toi et retire ta jupe et ton chemisier salope et tourne sur toi même que je vois ton corps et ton petit cul !

  • Bien Monsieur.

Je fais plusieurs tours sur moi-même, Monsieur Jean fait ses commentaires, il semble me trouver très à son goût, je suis flattée.

  • Mets toi à genoux, salope.

  • Oui, Monsieur.

Je suis à genoux, il s’approche de moi et me demande si je me sens prête à me prostituer vraiment afin de lui rapporter un peu d’argent, je lui avoue que je ne sais pas vraiment si j’en suis capable. J’ai à peine fini ma phrase que je reçois une gifle magistrale qui me fait tourner la tête.

  • Je ne te demande pas ton avis salope, et qu’est-ce que c’est que cette façon de me parler, si tu n’es pas d’accord, rhabille toi et va t-en !

  • Je vous prie de m’excuser, Monsieur, cela ne se reproduira plus.

  • J’espère bien, je ne tiens pas à te rappeler à l’ordre régulièrement.

  • Bien sûr Monsieur, j’ai très envie de vous satisfaire, c’est simplement que je ne sais pas si j’arriverai à gagner assez d’argent.

  • Oh, tu commences à m’énerver, si tu veux m’obéir, ce n’est pas à moitié ou en fonction de ce que tu veux toi, c’est en fonction de ce que je veux moi, je ne vais pas m’embêter avec quelqu’un qui discute mes ordres ou qui ne sait pas ce qu’elle veut. Soit tu te livres corps et âme à moi, soit tu dégages ! J’en ai marre, mets toi à quatre pattes là sur le tapis.

  • Oui, Monsieur.

    Dès que je suis en place, je reçois une fessée magistrale, mes deux fesses rougissent en un instant. Monsieur Jean est très énervé, il frappe tout en m’ annonçant les règles que sa soumise doit assimiler très vite et s’y tenir scrupuleusement :

  • Si tu n’es pas capable de comprendre, d’ obéir à mes règles afin de me satisfaire, il n’est pas question que je m’embête avec toi. A partir de maintenant je veux une obéissance sans faille, tu commettras encore peut-être des erreurs mais tu seras corrigée immédiatement. A partir de maintenant, tu m’appelleras « Maître », réfléchis bien tout de suite deux minutes, tu peux encore partir, si tu acceptes, j’exige une obéissance de tous les instants.

  • Bien Maître, je ferai ce qu’il vous plaira, je promets de faire attention à mon comportement et de ne plus penser qu’à vous obéir et à vous satisfaire.

  • Très bien. Tu sais aussi ce que je suis en droit d’attendre d’une petite salope comme toi ?

  • Non, Maître.

  • Une petite pute comme toi est surtout faite pour sucer les bites.

  • Oui, Maître.

Maître Jean défait sa ceinture, descend sa braguette, glisse sa main dans son slip et en ressort sa bite, elle est déjà d’une belle taille au repos et je me dis qu’après l’avoir fait grossir avec ma langue et mes lèvres elle devrait être d’une très belle taille. Je m’applique donc parfaitement sur le sexe, je mets en pratique tout ce que j’ai appris depuis toutes ces années durant lesquelles j’ai sucé tant de bites ! Je reste comme cela plusieurs minutes à bien pomper le sexe maintenant très large et bien tendu. Maître Jean a pris ma tête entre ses deux mains et me baise littéralement la bouche. Au bout de quelques minutes, il éjacule dans ma bouche, j’ai un léger mouvement de recul dû à la surprise de recevoir si vite le sperme de mon Maître mais il me maintient la tête avec sa bite bien au fond de ma gorge.

  • Nettoie bien mon sexe avec ta langue, ensuite tu gardes quelques secondes le sperme dans ta bouche en me remerciant du cadeau que je viens de te faire puis tu avales avec délice.

J’ essaye de dire quelque chose mais je n’y parviens pas.

  • Je ne te demande pas ton avis salope, si tu es vraiment une bonne suceuse, tu dois avaler le foutre et aimer ça en plus. Qu’est-ce que tu crois, que tu vas pouvoir faire ce que tu veux ? Moi j’aimerai une pute soumise, obéissante, prête à mettre sa bouche et son petit cul à la disposition de toutes les bites, réfléchis bien, si tu ne t’en sens pas capable on en reste là.

  • Si, Maître, je m’en sens capable.

  • Rhabille toi, je te contacte dans deux, trois jours.

  • Bien, Maître.

Quelques jours plus tard, Maître Jean me rappelle en me disant de me trouver tel jour à telle heure dans un endroit insolite, c’est une maison abandonnée. Je dois m’y présenter habillée de mes dessous de pute, avec des escarpins, la même micro jupe, le chemisier blanc. Je dois aussi être maquillée très pute comme la première fois.

Je n’ai pas trop de mal à trouver la maison, j’ entre. Maître Jean est déjà là. Il a installé une couverture par terre, sans dire un mot il me met un foulard sur les yeux et m’installe à quatre pattes sur la couverture. J’ entends une voiture arriver puis quelques minutes après je sens des mains me peloter. J’ entends mon Maître discuter avec l’homme et je comprends alors que je suis là, mise à la disposition de cet homme, j’ entends une autre voiture arriver puis encore une autre. J’ entends les hommes discuter entre eux et avec avec mon Maître :

  • Alors, voilà la petite pute mise à notre disposition aujourd’hui ?

  • Oui, elle est à vous messieurs, vous pouvez en faire ce que vous voulez.

  • Hum, bien. Elle suce sans capote ?

  • Oui, oui, elle a même pour consigne d’avaler. Par contre vous la baiserez avec capote.

  • Intéressant ça, une petite travestie soumise.

Pendant qu’ils parlent, ils ont tous les trois posé leurs mains sur moi et me pelotent sans retenue, je me sens très soumise et humiliée. cette sensation est encore amplifiée par le fait que je ne peux rien voir. J’ entends encore deux voitures se garer auprès de la maison. Je sens alors une bite se présenter à l’entrée de ma bouche. J’ ouvre la bouche et engloutis l’engin de belle taille pendant que je sens une main relever ma jupe, écarter mon string et deux doigts s’insinuer dans mon petit trou et le malaxer assez violemment. Les deux nouveaux arrivants sont entrés dans la maison et font le même type de commentaires. Pendant qu’un homme me tripote le cul, j’ai l’impression de sentir au moins quatre bites différentes prendre possession de ma bouche. En fait, il y a un homme qui me pelote mon petit trou et les quatre autres qui glissent à la chaîne leur bite dans ma bouche. Tout-à-coup je sens qu’on m’ applique quelque chose de frais sur mon petit trou, je comprends qu’un homme me met du lubrifiant avant de m’enculer. Il présente sa bite à l’entrée de l’anus, pousse délicatement mais sans relâcher sa pression, la bite entre facilement sous l’effet du lubrifiant. Quand l’homme est bien au fond de mon cul, il commence ses mouvements de va-et-vient sans plus aucun ménagement. A chaque coup de bite dans mon cul, je suis projetée sur la bite dans ma bouche qui vient heurter le fond de ma gorge. Je ne suis plus qu’un objet sexuel, deux trous au service des hommes. J’entends encore trois ou quatre voitures arriver. Les hommes se succèdent maintenant à une cadence infernale dans mon cul et dans ma bouche, ils me baisent la bouche et le cul en faisant des commentaires très humiliants. Maître Jean regarde le spectacle et apprécie apparemment beaucoup, je suis fière de satisfaire mon Maître en étant une petite pute soumise à son service en train de recevoir des bites dans tous ses trous sans dire un mot. Je me fais ainsi limer le cul et la bouche par ces huit hommes pendant deux bonnes heures, je sens que les hommes échangent leur place dans ma bouche ou dans mon cul à la taille de la bite ou à la façon de me limer, certains ont un rythme rapide d’autres plus lent. Au bout d’une heure certains éjaculent dans ma bouche, d’autres dans mon cul, certains éjaculent dans mon cul dans le préservatif et me présentent ensuite leur bite dans la bouche pour que je nettoie le sperme. Les premiers jets sont un peu difficile à avaler puis je prends l’habitude et, comme d’habitude, j’ adore le goût de ce jus et je le prends comme une marque de ma soumission à mon Maître. Une fois que les hommes ont joui dans ma bouche ou dans mon cul, ils partent les uns après les autres. A la fin, je me retrouve seule avec mon Maître qui m’ enlève le foulard, me dit qu’il est fier de ma prestation et part à son tour. Je me rhabille, épuisée, et je quitte moi aussi cette maison abandonnée.

fév 222016

CHAPITRE 13


Maître Jean fait de moi une prostituée.


Résumé du chapitre 12 « Je rencontre Maître Jean qui veut me prostituer.»: J’ai rencontré mon nouveau Maître, il se prénomme Jean et veut faire de moi une vraie prostituée. Pour notre première rencontre, il m’a fait venir chez lui et je l’ai sucé pendant de longues minutes puis il a organisé un plan abattage dans une maison abandonnée où j’ai été mise à la disposition de huit hommes que j’ai sucés et qui m’ont baisée.

Après cette séance abattage dans cette maison abandonnée, je revois Maître Jean plusieurs fois. Il est très pervers, il adore m’exhiber un peu partout comme je l’étais un peu avec Maître Alain : bois, aires de repos, sex shop, hôtel, plage … Il m’utilise un peu partout, parfois nous sommes seuls, parfois il fait venir d’autres hommes.

A cette époque, j’ai le projet d’acheter un camping-car. Maître Jean lui, veut faire de moi une prostituée dans le vrai sens du terme, il veut que je reçoive des hommes et que je me fasse payer afin de lui rapporter de l’argent. Moi, l’idée me plaît beaucoup, être réellement une prostituée et rapporter de l’argent à un homme avec mon cul et ma bouche me fera encore davantage me sentir pute et soumise à mon Maître. J’achète donc un camping-car. Maître Jean est très intéressé par cette acquisition, il souhaite donc me faire tapiner dans mon camping-car. Il m’ordonne de passer une annonce sur internet à peu près en ces termes : «  Véritable pute travestie soumise est mise à la disposition des hommes par son Maître dans un camping-car garé sur l ’aire de repos de l’avantage sur la quatre voies Quimper Pont L’Abbé lundi 12 juin de 9h à 17h. Immatriculation XX-XXX-XX, (camping-car équipé en liens et chaînes, matériel de soumission fourni). davantage d’informations par mail. ( En effet mon Maître ne peut pas mettre les tarifs sur l’annonce ou elle serait censurée). Maître Jean met son mail sur l’annonce et les clients prennent contact directement avec lui pour connaître les tarifs : 20 € la pipe, 40 € la baise, 50 € la séance de domination.

Au jour et à l’heure indiqués sur l’annonce, je gare le camping-car sur l’aire de repos. Je suis habillée avec des bas noirs, un porte jarretelles, un body et un string, le tout en rouge, une mini jupe noire, un chemisier blanc, des cuissardes en vinyle noir. Je porte une perruque mi longue brune et je suis maquillée très pute, c’est normal c’est vraiment ce que je suis là. Maître Jean m’a prévenu qu’il passerait et se garerait derrière moi pour me surveiller et voir combien de clients viennent me baiser.

Une fois garée, j’installe les liens, les chaînes, je dispose le lubrifiant et les capotes près du lit avec aussi des menottes et deux ou trois godes et plugs, une cravache, un martinet, un bâillon, un bandeau. Je ne sais absolument pas combien de clients ont pris contact avec mon Maître. Le premier client arrive, il fait le tour du camping-car, hésite un petit moment puis frappe à la porte, j’ouvre :

  • Bonjour Monsieur.

  • Bonjour petite pute, c’est toi la putain de Jean ?

  • Oui Monsieur.

  • Très bien, moi je veux juste me faire sucer, ton Maître m’a dit que tu es une experte.

  • Oui Monsieur, vous connaissez les tarifs ?

  • Oui oui, ne t’inquiète pas petite pute, voilà tes 20 €.

  • Merci Monsieur.

L’homme retire son pantalon et reste en boxer.

  • Allez fait moi bander à travers mon slip, j’adore ça.

  • Bien Monsieur, comme vous préférez.

Je m’approche du sexe légèrement gonflé et y pose mes lèvres. Je promène mes lèvres sur toute la longueur de la bite en mouillant le tissu avec ma langue. L’engin ne tarde pas à grossir et prend tout de suite de belles proportions, je descends sur les couilles et les gobe l’une après l’autre à travers le slip. Puis je glisse mes doigts sur la haut du slip et le descends doucement en faisant jaillir la bite que je prends immédiatement en bouche. Oh, quel délice de sentir une belle bite entrer dans ma bouche, j’adore vraiment ça. Je prends la bite bien au fond de ma gorge, titille le bout du gland avec ma langue et je reste comme cela plusieurs minutes. Je ressorts le sexe entièrement de ma bouche puis replonge dessus goulûment, l’homme semble apprécier, il pousse de petits gémissements de plaisir. A ce moment, j’entends frapper à la porte, je ne réagis pas, l’homme comprendra sans doute que je suis en main. Je commence alors de longs va-et-vient sur toute la longueur de la bite, d’abord tout doucement puis de plus en plus vite. J’enserre les couilles entre mon pouce et mon index pour bien tendre la bite que je pompe maintenant frénétiquement. De temps en temps, je sors la bite de ma bouche et je lèche les couilles tout en les gardant emprisonnées entre mon pouce et mon index puis je reprends la bite dans ma bouche. Je continue comme ça à pomper le mec pendant une bonne demi-heure, je veux qu’il en ai pour son argent, mon Maître m’a ordonné de soigner mes premiers clients afin que le bouche à oreille fonctionne et que chaque client m’en apporte d’autres. Je sens la bite dans ma bouche s’agiter de plus en plus, je sens que l’homme est au bord de la jouissance, je ralentis un peu le rythme pour faire redescendre la pression puis je recommence à le pomper avidement, n’y tenant plus il gicle dans ma bouche en poussant un gros cri de jouissance qui doit s’entendre à l’extérieur du camping-car. J’ouvre la bouche pour montrer le foutre à mon client puis je lui montre bien que j’avale tout en me délectant. L’homme remet son pantalon et s’en va.

Dès qu’il est sorti, j’en profite pour mettre un coup de brosse à ma perruque, je remets du rouge à lèvre. Aussitôt, on frappe à la porte, je dis d’entrer.

  • Bonjour Monsieur.

  • Bonjour petite pute, c’est toi la pute de Jean ?

  • Oui Monsieur.

  • Très bien j’ai frappé tout-à-l’heure mais tu étais en main.

  • Oui Monsieur, que voulez-vous faire de moi ?

  • Tu es une pute, je suis venu pour te baiser salope.

  • Bien Monsieur, vous connaissez les tarifs ?

  • Oui, voilà 40 €

  • Merci Monsieur, à partir de maintenant, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi.

  • Très bien, mets toi à quatre pattes salope.

  • Oui Monsieur.

Je me mets à quatre pattes au milieu du camping-car. L’homme retire ses vêtements, se place devant moi et glisse sa bite dans ma bouche. J’ouvre grande la bouche et prends la bite bien au fond, elle est toute petite mais je m’active avec mes lèvres et ma langue pour bien la faire grossir. Très vite elle prend une taille correcte mais sans plus, elle n’est pas très grosse ni très longue, ça va être un plaisir de la prendre dans le cul et de me faire limer. Je la suce comme ça, à quatre pattes une bonne vingtaine de minutes, puis l’homme se retire et se place derrière moi, il me soulève la jupe, écarte mon string et enfile une capote, je ne me mets pas de lubrifiant, la bite n’est pas trop grosse, l’homme peut m’enculer à sec. Il pose sa bite à l’entrée de mon petit trou, je remue les fesses pour l’exciter, je sens la bite qui entre doucement. L’homme glisse sa queue sur toute la longueur, elle est maintenant bien au fond de mon cul, il en profite pour me frapper les fesses, puis il commence ses mouvements de va-et-vient, d’abord tout doucement puis de plus en plus vite. Il me donne maintenant des gros coups de boutoir, je suis projetée vers l’avant à chaque coup de bite. Il est très violent, heureusement qu’il n’a pas une trop grosse bite, j’aurai souffert dans ce cas. Il me lime une demi-heure environ puis il éjacule dans la capote dans mon cul. Il se retire, retire la capote, me mets sa bite dans la bouche pour que je la nettoie, se rhabille et s’en va.

Après le départ de mon deuxième client, je me nettoie bien le cul, je remets du rouge à lèvre et je remets correctement mon string, ma mini-jupe et mon chemisier, l’homme m’a quand même bien secouée. J’attends quelques minutes et l’on frappe à la porte, je fais entrer l’homme, la même discussion qu’avec les précédents s’engage. Celui veut aussi me baiser, mais son fantasme c’est de baiser les putes debout appuyées à un meuble, lui il ne cherche pas à ce que je le suce avant, après m’avoir donné mes 40 euros, il me plaque contre la penderie, me retire ma mini-jupe, descend mon string sur mes chevilles, enfile une capote, me dit de me mettre du gel car il est bien monté me dit-il. Il se place derrière moi et m’encule d’un coup sec sans aucun ménagement, en effet il est très bien monté et je suis contente d’avoir bien enduit mon petit trou de lubrifiant. Il me bourre le cul comme ça durant un bon moment, le camping-car tremble et je me dis que s’il y a des hommes autour, ils n’auront aucun doute sur ce qui se passe à l’intérieur. L’homme jouit assez vite dans mon cul en poussant un long râle, il se retire aussitôt, enlève le préservatif, se rhabille et s’en va sans dire un mot.

Je suis restée sur l’aire de repos de 9h à 17h, j’ai eu avoir la visite de sept clients, certains ont voulu que je les suce simplement, d’autres ont voulu me baiser, il n’y a aucun qui à voulu me faire une séance de soumission. J’ai rapporté à mon Maître deux cents euros ce jour là. J’étais un peu inquiète car je me demandais si Maître Jean serait satisfait, je trouvais que je n’avais pas gagné beaucoup, je pris conscience que je devrais tapiner presque tous les jours pour atteindre l’objectif qu’il m’avait fixé.

Vers 17h, Maître Jean arrive. Sans dire un mot, il enlève son pantalon et son boxer, s’assied sur une banquette et dit :

  • Donne moi ce que tu as gagné et suce moi pendant que je compte, salope.

  • Oui Maître, voilà Maître.

Je lui tend l’argent et me mets aussitôt à genoux devant lui, la tête entre ses cuisses et je prends immédiatement sa bite dans la bouche pour la faire grossir.

  • Deux-cent euros, ce n’est pas beaucoup, salope.

  • Oui Maître, j’en ai conscience mais beaucoup d’hommes n’acceptent pas de payer une pute travestie, il y en a quelques unes qui se font baiser gratuitement.

  • Je ne veux pas le savoir. Tu te rappelles l’objectif que je t’ai fixé.

  • Oui Maître, vous voulez que je vous rapporte environ deux mille euros par mois.

  • Exactement.

  • Je vais devoir tapiner tous les jours pour arriver à gagner ça Maître.

  • Eh bien, tu tapineras tous les jours !

  • D’autant plus que je vais devoir trouver d’autres clients, je ne vais pas pouvoir faire payer les mêmes si souvent que ça Maître.

  • Je sais, c’est pour ça que j’ai pensé que tu devras aussi aller tapiner certains jours à Brest et à Lorient pour avoir davantage de clients.

  • Oui Maître, c’est une bonne idée.

  • Et, une fois que tu te seras fait une bonne réputation de pute et que les clients sauront exactement quels jours ils peuvent te trouver pour te baiser, ça devrait mieux marcher.

  • Oui Maître, je l’espère.

  • De toutes façons, ce n’est pas discutable, je veux qu’avec ta bouche et ton cul tu me rapportes deux mille euros par moi alors débrouille toi, tu n’as qu’à faire la pute la nuit aussi, ça doit bien marcher.

  • Oui Maître.

  • Bon, retire ta jupe et ta culotte et allonge toi sur le ventre sur le lit. Tu dois être bien ouverte la, combien as tu pris de bite dans le cul aujourd’hui ?

  • Trois clients m’ont enculée Maître.

Je retire ma mini jupe et mon string et m’ allonge sur le ventre sur le lit. Maître Jean me prend les poignets et les chevilles et les attaches aux bracelets que j’ai installés de part et d’autre du lit. Je suis complètement en croix, les cuisses bien ouvertes. Il me glisse un énorme gode dans le cul sans aucun ménagement puis prend le martinet. Tout en me frappant violemment sur tout le corps mais surtout sur les fesses, il me dit qu’il n’est pas très content de moi, que je dois lui rapporter davantage. Il me dit qu’il met ça sur le compte du démarrage mais que par la suite il veut que je lui rapporte davantage, il me dit que je serai ainsi battue à chaque fois qu’il estimera que je ne lui ai pas rapporté assez. Au bout d’une demi-heure de cette correction, je ne sens plus mes fesses. Maître Jean s’arrête enfin. Il me dit :

  • Tu n’as pas mérité que je t’encule salope, tu te contenteras du gode.

  • Bien Maître.

Je suis très déçue, j’aurai tellement voulue sentir sa bite me pénétrer, le sentir prendre possession de mon corps mais, en même temps je le comprends, il n’est pas content de moi, je ne le mérite pas. Mon Maître se rhabille et s’en va en me laissant comme ça, insatisfaite.

Afin de me faire pardonner par mon maître, j’ai beaucoup tapiné les jours suivants, la semaine suivante j’ai même passé des annonces sur internet pour informer que je me prostituerais sur le parking du pont de Plougastel à côté de Brest et sur un parking à Lorient. En un mois je réussis à atteindre l’objectif de deux milles euros fixé par mon Maître mais pour y arriver j’ai du tapiner beaucoup, toute la nuit parfois. Pour les semaines suivantes, je retrouvais Maître Jean seule dans le camping-car, je lui donnais l’argent gagné dans la semaine et s’il était content de moi, il me baisait divinement une bonne partie de la nuit.

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ICRA

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