mar 112016

Nicole9CHAPITRE 8


Mise à la disposition de tous dans un club à Guingamp.


Résumé du chapitre 7 «  Dans une boutique de lingerie puis au sex-shop» :Alain a exigé de moi que j’aille m’acheter des dessous féminins dans une boutique de lingerie (jusqu’à présent j’achetais sur internet, ça m’évitait d’avoir à expliquer que c’est pour moi). Là, Alain a exigé que j’aille en boutique et que je dise bien à la vendeuse que c’est pour moi. Je l’ai fait bien sûr, j’ai obéis et la vendeuse a paru très amusée par la situation. Ensuite Alain m’a convoqué dans un sex-shop où j’ai du sucer quelques bites et me faire baiser par deux hommes à la vue de tous les clients présents.

Il s’est passé plusieurs mois durant lesquels je suis devenue entièrement soumise à Alain, j’étais à sa disposition, il disposait totalement de moi, il m’a remise plusieurs fois à la disposition des hommes dans les toilettes publiques à Saint-Marc ou au sex-shop. Il m’envoyait un SMS ou me fixait rendez-vous sur internet et j’obéissais en me rendant immédiatement disponible. Il m’est arrivé deux ou trois fois d’arriver en retard au rendez-vous et là, comme le première fois, j’ai reçu une fessée magistrale. Je comprenais très bien cette correction, je la trouvais totalement justifiée, Alain ne devait pas avoir à m’attendre, j’étais soumise, je devais obéir et être très réactive. Plusieurs fois aussi il avait pris une chambre d’hôtel et passé une annonce pour me mettre à l’abatage. A chaque fois il y avait eu une moyenne de vingt hommes qui avaient utilisé ma bouche et mon cul durant toute la nuit. A la fin de chacune de ces nuits, vers six heures du matin, j’étais totalement épuisée mais si heureuse, heureuse parce que je ne pouvais vivre sans une bite dans la bouche ou dans le cul et heureuse car je voyais que mon Maître était fier de moi. Je continuais à porter en permanence un gode dans le cul, je ne le retirais que pour aller aux toilettes ou pour me faire enculer. Alain avait d’ailleurs changé la taille de mon gode, j’en portais maintenant un plus gros. Il m’avait dit qu’il voulait me dilater un peu plus le cul de façon définitive pour que les bites entrent sans difficulté et sans lubrifiant et que, plus tard, il me ferait porter un rosebud ( petit plug bijou ).

J’avais maintenant une liste de clients assez longue gérée par Alain, cette liste était constituée d’une centaine d’hommes, certains m’avaient baisée plusieurs fois, d’autres une seule fois. Alain avait même une liste d’habitués qui me baisaient en moyenne une fois par semaine.

Depuis quelques jours, Alain est en contact par internet avec un couple qui se rend une semaine plus tard dans un club de Guingamp dans les Côtes d’Armor pour une soirée SM. Cette soiré est très particulière : seuls les couples sont invités et chaque couple doit venir avec en plus un soumis ou une soumise. Le couple a contacté Alain sur un site internet après que ce dernier ait mis une annonce pour informer les hommes qu’il mettait sa pute travesti à leur disposition. Le couple, n’ayant pas de soumis ou de soumise l’avait contacté pour savoir s’il pouvait mettre sa pute à leur disposition. Alain avait accepté même si, il me l’avait dit, il n’aimait pas trop cela puisqu’il ne pourrait être présent, mais comme l’idée de me prêter à d’autres lui plaisait il accepta. Il avait exigé de moi que je lui rédige ensuite un rapport très détaillé de cette nuit. Cela me semblait une évidence.

La semaine suivante, je me retrouvais donc à l’adresse donnée par le couple, il s’agissait de Françoise et de Louis. Je savais que c’était surtout Madame Françoise qui était très dominatrice. Elle avait exigé que je sois habillée exclusivement de latex. Depuis quelques mois, Alain m’ayant beaucoup prostituée, il avait collecté un petit pécule qui lui avait permis de m’acheter plusieurs tenues de pute et en particulier une tenue en latex puisque plusieurs de mes clients le réclamaient.

Ce soir la je porte donc des bas noirs en latex, une guêpière et un string en latex noir, des cuissardes en vinyle, je porte aussi un collier en cuir assez large avec un anneau. Je porte ma perruque brune mi-longue et je suis maquillée assez pute comme toujours. Par dessus tout ça, je porte une veste en vinyle assez courte qui m’arrive juste sous les fesses, quand je marche dans la rue, on voit donc mes jarretelles dépasser de la veste. Heureusement que je peux me garer assez près de l’entrée du club. Au bout de quelques minutes, je vois une femme et un homme se diriger vers ma voiture, la femme frappe à la vitre, me demande si je suis « Nicole », après le lui avoir confirmé, elle me dit qu’elle est « Madame Françoise » et me présente Louis. C’est une femme très pulpeuse avec, je devine, quelques belles rondeurs sous sa longue veste de cuir. Elle me dit de sortir de ma voiture et attache aussitôt une laisse à mon collier. Elle me conduit ensuite comme cela sur une trentaine de mètres sur le trottoir jusqu’à l’entrée du club. Nous entrons. Le patron, à l’entrée nous laisse passer après les présentations d’usage et après s’être assuré qu’il s’agit bien d’un couple et de leur soumis. L’éclairage est assez faibles, dans les enceintes on entend la musique d’Enigma. Madame Françoise me dirige par la laisse dans une salle ou j’aperçois une croix de Saint-André, un carcan et divers appareil de suspension. Il y a déjà pas mal de monde dans le couloir et dans la salle, les gens présents nous regardent passer et j’entends quelques commentaires du style : « c’est un travesti soumis » ou «  elle a l’air d’une belle salope ». Dans la pièce il y a déjà deux soumises attachées en laisse à un crochet dans le mur et un homme attaché sur une table en bois avec le sexe emprisonné dans une cage et des pinces aux tétons et aux testicules. Ma maîtresse d’un soir me retire ma veste de vinyle, me met un bandeau sur les yeux et m’attache juste par les poignets à une barre située en hauteur. Je suis ainsi attachée les bras en l’air, les jambes légèrement écartées à la vue et à la disposition de tous. Quelques secondes après, un premier coup de cravache s’abat sur mes fesses, je ne sais même pas qui me l’a donné, ça peut être Madame Françoise comme ça peut être n’importe qui. Puis les coups s’enchaînent. Il doit y avoir deux personnes derrière moi, j’entends leurs commentaires :

  • Dis donc, elle a un beau cul cette petite salope !

  • Oui et tu as vu, elle a un plug dans le cul, elle est arrivée comme ça.

  • J’aime beaucoup sa tenue en latex, elle fait vraiment très pute.

  • Oui, et elle doit avoir l’habitude de se faire fouetter, elle réagit sous les coups juste comme j’aime, un peu pour bien me montrer qu’elle a mal et pas trop pour m’indiquer que je peux continuer, elle est vraiment bien dressée cette chienne, c’est un plaisir de la corriger.

  • Oui je vois ça, ses fesses deviennent juste un peu rouge comme il faut.

Je comprends alors à leur discussion que c’est un homme qui me corrige. Il reprend la correction, de temps en temps il arrête la cravache et me donne la fessée de ses mains, il s’amuse aussi à remuer le plug dans mon cul, le sort et le rentre. J’entends de plus en plus de dialogues autour de moi, il doit maintenant y avoir plusieurs personnes à me mater. Tout-à-coup, je sens deux doigts me prendre les tétons et on y met une pince sur chacun. Je sens aussi qu’on y accroche des poids. Puis la main descend vers mes couilles et y place aussi deux pinces sur lesquelles est aussi attaché un poids, c’est assez lourd, je sens mes couilles vraiment étirées vers le bas. La douleur des pinces ajoutée à celle de la cravache ou de la fessée devient difficile à supporter, je savais que j’allais souffrir ce soir mais ça commence très vite. Je suis toujours attachée, les bras tendus vers le haut, les yeux bandés, les jambes écartées, un plug dans le cul, des pinces aux tétons et aux testicules et, ainsi maintenue sous la cravache et la fessée et aux yeux de tous, je me sens totalement soumise, j’adore même si j’ai mal et je pense à mon Maître, je sais qu’il serait fier de moi. Cette pensée m’aide à trouver du courage à supporter les coups qui sont de lus en plus violents. L’homme s’arrête enfin et me laisse comme ça, attachée avec mes pinces. Il m’est difficile de dire combien de temps je reste là, une heure à peu près je pense. Les pinces me font maintenant horriblement mal et j’ai aussi mal aux jambes. Durant tout ce temps, j’entends d’autres personnes souffrir sous les coups autour de moi, des femmes surtout. De temps en temps, quelqu’un passe à côté de moi et me donne une dizaine de fessées.

Enfin, Madame Françoise arrive en me disant : « Alors petite chienne, tu t’es bien faite corrigée hein ! En tous cas Alain avait raison, il m’a dit que tu es une bonne salope bien dressée et qui sait recevoir les coups, c’est un plaisir de te voir réagir sous les coups, j’ai beaucoup aimé ce que j’ai vu », elle me retire les pinces, ça me fait horriblement mal pendant quelques minutes puis la douleur diminue mais restera présente plusieurs jours, je le sais. Elle me détache, je ne sens plus ni mes bras, ni mes jambes. Elle me reprend par la laisse et me conduit dans une autre pièce où là encore j’entends beaucoup de gémissements de femmes. Elle me dit de retirer ma culotte, elle me retire mon plug puis m’assoit sur une chaise un peu froide, elle m’attache les chevilles aux pieds de la chaise, les poignets aux accoudoirs et la tête au dossier, je suis très inquiète, je me demande ce qui va m’arriver mais je suis un peu rassurée en sachant que je vais être assise. A ce moment là j’entends un petit moteur électrique démarrer sous mes fesses et aussitôt je sens un objet de la taille d’une bite se présenter à l’entrée de mon cul. Je devine alors que Madame Françoise m’a fait m’asseoir sur une machine à baiser. Je remue un peu les fesses pour permettre au gode de trouver l’entrée de mon petit trou. Voilà, il est maintenant bien rentré, Madame Françoise accélère alors la cadence, la machine se met alors à me pilonner de façon très rapide. J’entends des voix autour de moi commenter ce qu’ils voient mais je ne vois rien, j’ai toujours les yeux bandés. A ce moment, je sens quelque chose se présenter à l’entrée de ma bouche, j’ai assez d’habitude maintenant pour savoir qu’il s’agit d’une bite. J’ouvre la bouche et laisse entrer l’engin de belle taille. Etant donné que je ne peux absolument pas bouger, l’homme me baise la bouche, je ne peux qu’ouvrir la bouche et promener ma langue sur le gland. Il jouit assez vite dans ma bouche, j’avale le sperme, il se retire et une autre bite prend aussitôt possession de ma bouche, elle est encore plus grosse que la précédente. J’ai du mal à ouvrir suffisamment la bouche et la bite me fait mal. Heureusement l’homme jouit très vite, je garde le sperme quelques secondes pour apprécier puis j’avale jusqu’à la moindre goutte. Je reste ensuite un bon moment sur cette chaise avec le gode qui me pilonne le cul, c’est très bon ! Je pense être restée encore une fois une bonne heure sur cette chaise puis Madame Françoise vient me détacher, me remet mon plug dans le cul puis me fait remettre mon string, puis elle me conduit à leur table où un repas sous forme de buffet est proposé, elle me retire mon bandeau puis m’ autorise à manger quelque chose rapidement. Ensuite elle m’ ordonné de passer sous la table et elle me dit de lui lécher la chatte et de sucer la bite de Louis à côté d’elle. Ils sont restés très longtemps à table, je les entends parler de leurs diverses expériences SM entrecoupé de temps en temps de petits soupirs provoqués par le plaisir que je leur procure. Je suis très contente d’entendre l’effet que fait mon travail. De temps en temps même ils commentent pour leurs amis à la même table ce que je suis en train de faire. J’avoue que je préfère largement sucer la bite de Louis que lécher la chatte de Madame Françoise. Je reste sous la table une très longue partie de la fin de nuit. Puis, vers cinq heures du matin, le couple de mes Maîtres d’un soir décide de rentrer. Je remets ma veste de vinyle, Madame Françoise me fait sortir en laisse du club puis me reconduit à ma voiture. Elle me dit qu’elle a été enchantée de ma prestations, que j’ai vraiment été à la hauteur de ce qu’Alain avait promis, au-delà même de ce qu’elle attendait et qu’elle recontactera sûrement mon Maître pour solliciter mes services à d’autres reprises.

mar 112016

Nicole8CHAPITRE 9


Grosse nuit de baise à Kéroual à Brest.


Résumé du chapitre 8 «Mise à la disposition de tous dans un club à Guingamp  » :

Un couple dominateur a contacté mon Maître Alain afin qu’il leur prête la petite pute travesti, à savoir moi, pour une soirée SM dans un club à Guingamp. Durant une bonne partie de la nuit, j’ai été attachée et j’ai du subir les sévices de plusieurs personnes présentes : être attachée, recevoir la fessée, la cravache, les pinces. J’ai aussi été posée par Madame Françoise sur une machine à baiser dont le gode m’a limer une bonne partie de la nuit. J’ai fini la nuit sous la table où j’ai du lécher le sexe de Madame Françoise et sucer la bite de son mari Louis. Après cette soirée SM en club, j’ai aussitôt fait un rapport détaillé écrit à mon Maître.

Une année entière a passé, j’ai maintenant vingt-et-un ans, j’ai réussi mon diplôme de fin d’études, ça n’a pas été facile j’ai du jongler avec mes études et les nombreuses sollicitations de mon Maître Alain. Un relation de dépendance totale s’est instaurée, il a réussi à prendre entièrement possession de ma vie. Bien sur, il y a eu quelques rates et il m’a corrigé aussitôt. Durant cette année, j’ai très souvent été mise à la disposition des hommes à l’hôtel, en sex-shop, dans le parc où j’avais rencontré mon Maître, dans un petit chemin discret, dans des soirées privées aussi. Madame Françoise a plusieurs fois sollicité mes services pour des soirées entre amis ou juste pour elle et son mari Louis. Cela fait maintenant trois ans que Maître Alain m’a pris à son service, trois ans que je suis vraiment devenue une pute travestie totalement accro à la bite des hommes, j’en ai sucé et pris des centaines dans le cul et dans la bouche. J’ai une liste de contacts d’hommes qui me baisent régulièrement impressionnante, je dois à chaque fois demander l’autorisation à mon Maître avant de leur fixer rendez-vous, parfois il exige d’être présent, parfois il me laisse aller seule au rendez-vous et je dois bien sur, après, lui faire un rapport détaillé de ce qui s’est passé.

Je ne porte plus de plug, je dois maintenant porter en permanence dans le cul un rosebud en acier avec des cristaux mauves sur le bout. Dés que je sors, mon Maître a exigé que je porte un collier qu’il a fait faire sur lequel il est écrit en grosses lettres le mot « salope ». Je suis très fière quand je le porte.

Un drame que je n’ose même pas imaginer se profile à l’horizon. Après l’obtention de mon diplôme, je passe des concours administratifs et il sera inévitable que je quitte Brest pour la région parisienne dès que j’en aurais réussi un. C’est une hypothèse que je ne veux pas imaginer et pourtant je sais que je n’ai pas le choix. Je ne sais pas du tout comment je vais faire sans mon Maître. Je suis totalement dépendante de lui et surtout, je suis totalement amoureuse de lui, c’est lui qui m’a fait découvrir la vie que je vis aujourd’hui et qui me plaît tant, c’est aussi la deuxième bite que j’ai sucé, c’est le premier homme qui m’a enculé. Je lui ai parlé de ce problème mais il n’y a aucune solution, lui ne peux quitter Brest et son travail et moi je vais devoir partir. Il a pris quelques contacts avec des dominateurs sur la région parisienne mais j’avoue que pour l’instant je ne me sens pas prête à appartenir à un autre homme qu’Alain.

Dans l’attente de cette affreuse nouvelle, Alain me fait de plus en plus tapiner, il organise toujours les soirées à l’hôtel ou parfois dans un garage où il me met à l’abatage et où les hommes paient une participation de dix ou vingt euros pour me baiser. Il a du gagner pas mal d’argent avec ça, ce qui lui permet de m’acheter assez souvent de nouvelles tenues de pute.

Ce soir, il m’a annoncé qu’il m’envoyait m’exhiber et me faire baiser dans le bois de Kéroual à Brest. La plupart du temps c’est lui que me dit comment m’habiller. Pour ce soir il m’a demandé de porter des bas résilles, ma guêpière rouge et noire, un string rouge, mes cuissardes. Il me fait aussi porter une chaîne bijou autour de la taille. Je dois bien sûr mettre mon collier « salope ». Je porte une nouvelle perruque brune qui me tombe sur les épaules. Alain m’a aussi demandé de me maquiller très pute : beaucoup de fond de teint, un rouge à lèvres très vif et persistant pour qu’il ne s’en aille pas quand je suce, du fard à paupière, de longs faux cils, les ongles vernis de rouge vif. Il me fait aussi porter une micro-jupe en vinyle qui m’arrive à peine au-dessous des fesses. Je porte un petit blouson de cuir par dessus. Nous sommes en août, il est vingt-deux heures. Je retrouve mon Maître sur le parking du parc d’exposition de Penfeld, je sors de ma voiture, il sort de la sienne, m’inspecte dans les moindres détails. Il attache une laisse à mon collier puis il écarte mon string et enlève le rosebud en disant :

  • Il vaut mieux que je te retire ton petit bijou ou bien tu vas le perdre ce soir, ma petite pute, tu vas sûrement prendre pas mal de bites dans le cul.

  • Oui Maître.

  • Nous allons aller voir sur le premier parking s’il y a des hommes puis nous irons sur celui d’en haut.

  • Bien Maître.

Je monte à côté de lui dans la voiture et nous nous dirigeons vers le premier parking, il y a cinq ou six voiture garées. Nous sortons de la voiture, Alain prend l’extrémité de la laisse et me conduit dans les premières allées du bois. Après quelques mètres, nous passons à côté d’un homme arrêté sur le bord du chemin. Il nous voit passer, mon Maître quelques centimètres devant moi et moi qui suis tirée par la laisse. Cette vue doit beaucoup lui plaire, il nous suit. Nous faisons quelques mètres et Alain ne se donne même pas la peine de chercher un endroit discret, il s’arrête sur une zone d’herbe sur le bord du chemin, l’homme nous rejoins, Alain s’adresse à moi puis à l’homme:

  • A genoux, salope.

  • Oui Maître.

  • Salut.

  • Salut.

  • Tu mets cette chienne à notre disposition ?

  • Oui, elle adore la bite, tu peux y aller, elle suce sans préservatif et avale, elle adore ça, par contre, si tu l’encules c’est avec capote.

  • Oui bien sûr.

L’homme se met face à moi, sa braguette tombe juste à hauteur de ma bouche, il défait sa ceinture, baisse son pantalon et son slip. Alain me tient toujours par la laisse, je sais tout-de-suite bien sûr ce que j’ai à faire, je prends sa bite dans ma bouche afin de la faire durcir très vite. Elle prend rapidement une belle taille. Je continue mon travail de suceuse en remuant bien ma langue tout autour du gland tout en pratiquant de longs va-et-vient. Il est maintenant très dur. Pendant que je le suce, deux autres hommes passent sur le chemin, ils ne peuvent pas me rater. Ils s’arrêtent pour mater. Les deux hommes commencent à se caresser à travers leur pantalon, puis ils baissent leur pantalon et leur slip, ils sont en érection. Ils s’approchent alors de l’homme que je suce et ils prennent à tour de rôle possession de ma bouche. Je suce ces trois queues pendant plusieurs minutes, c’est un plaisir de passer de l’une à l’autre, elles n’ont pas toutes la même taille ou le même goût. A ce moment, l’un des deux hommes arrivés après demande ^Alain :

  • Est-ce qu’on peut la baiser cette pute ?

  • Oui, bien sûr, je l’ai amené ici pour ça, elle veut toujours plus de bites, elle est complètement accro à la bite.

  • Est-ce qu’elle pend le jus dans la bouche ?

  • Oui, oui.

  • Elle avale ?

  • Oui, oui, pas de problèmes.

  • Super, on peut aller dans un coin plus discret ?

  • Oui, pas de soucis, on peut aller là-bas, sous les arbres.

  • Suis nous à quatre pattes salope.

  • Oui Maître.

Nous faisons quelques mètres, je suis mon maître à quatre pattes, de temps en temps l’un des hommes me met une claque sur les fesses. Nous arrivons sous les arbres. Alain me fait rester à quatre pattes. Les trois hommes se replacent devant moi, je lève un peu la tête pour attraper leur bite et je recommence à les sucer l’un après l’autre. Puis l’un des hommes passe derrière moi, il relève ma jupe, écarte mon string, enfile une capote et présente sa bite à l’entrée de mon cul. Il y a bien longtemps que je n’ai plus besoin de mettre de lubrifiant, je remue un peu mon cul pour l’exciter et pour bien lui montrer que j’attends sa queue avec impatience. Il m’enfile doucement, sa bite rentre toute seule et bien au fond. Il commence à me pilonner en me prenant les hanches, je suis secouée par les coups de bite et à chaque coup vers l’avant la bite que j’ai dans la bouche entre profondément. Les deux hommes baisent tour à tour ma bouche pendant que le troisième m’encule maintenant vigoureusement. Je me sens si bien dans cette position, j’apprécie autant la bite dans mon cul que celles qui passent dans ma bouche. De temps en temps l’homme qui m’encule me donne des tapes sur les fesses, j’adore. Les deux hommes s’agitent vraiment fort dans ma bouche et mon cul et les deux jouissent à peu près en même temps dans des râles assez bruyants. Ils se retirent et, comme d’habitude, je garde le sperme quelques secondes dans ma bouche pour apprécier avant de l’avaler. Le troisième homme prend alors position derrière moi et m’encule à son tour, sa bite et longue et fine, c’est très agréable, il me lime comme ça une dizaine de minutes et jouit à son tour dans mon cul dans le préservatif. Je me fais toujours baiser avec capote, beaucoup d’homme ont demandé à mon Maître de pouvoir me baiser sans capote, il a toujours refusé. Seul lui me baise depuis déjà plusieurs mois sans capote, je trouve cela tout à fait normal, je suis sa pute, je lui suis totalement soumise, il doit pouvoir éjaculer dans mon cul. J’adore sentir son sperme chaud couler à l’intérieur de mon cul. Nous attendons quelques minutes dans le bois, il n’y a plus personne, Alain décide alors d’aller voir sur le parking en haut du bois de Kéroual. En arrivant sur le parking, on voit une bonne dizaine de voitures, certains hommes sont dans leur voiture. Alain décide de se garer à l’entrée du parking, je sais qu’il se gare là pour que les hommes assis dans leur véhicule me voient traverser le parking tenue en laisse. Nous sortons, Alain prend ma laisse et me dirige vers l’entrée du bois. Dans le bois d’en haut, il n’y a pas besoin d’aller très loin, il y a une allée qui longe le parking. Mon Maître fait deux ou trois allers-retours sur l’allée, le temps d’attirer les hommes. Ceux qui étaient dans leur voiture sont effectivement sortis à notre passage. Dans l’allée il y a trois ou quatre hommes qui déambulent. Alain m’arrête en plein milieu du chemin et commence à me peloter, il soulève ma jupe pour bien montrer mon petit cul aux hommes qui se sont maintenant regroupés autour de nous. Je sens un grand nombre de main me peloter.

  • Dis-donc elle a l’air bien salope.

  • Oh oui, elle adore la bite, vous pouvez y aller les gars, elle doit tout accepter, elle sait que si elle ne me satisfait pas, je la corrige.

  • C’est bien ça, est-ce qu’elle suce sans capote ?

  • Oui, elle doit sucer sans capote, elle avale même, en plus elle adore ça, vous pouvez l’enculer aussi bien sûr mais avec capote, bien entendu.

  • Oh, là, là, génial, on va bien s’amuser.

  • Vous pouvez aussi lui donner la fessée, elle a l’habitude d’en prendre, elle n’a pas le droit de se plaindre, de toutes façons elle adore ça aussi.

  • Super, on peut aller dans un endroit plus discret ? Les flics passent régulièrement sur le parking.

  • Oui, on va aller sur la table de pique-nique au fond du bois, là on sera tranquille.

  • OK

Alain reprend ma laisse et me dirige vers la table bien en retrait dans le bois. Il y a huit hommes qui nous suivent. Arrivés sur place, Alain me retire mon blouson de cuir, détache la laisse, retire ma culotte en disant « Il faut que ton petit cul soit accessible facilement. Cette pute est à vous messieurs ». Puis il m’installe dans le bout de la table, les mains posées sur la table, le cul bien cambré.

Je sens aussitôt de nombreuses mains se poser sur mon corps, aucune partie de mon intimité n’est oubliée, je sens une main m’emprisonner les testicules et tirer dessus, j’ai un peu mal. En même temps je sens plusieurs claques s’abattre sur mes fesses et un doigt me pénétrer le cul. A ce moment là j’ai une drôle de sensation sur mon sexe. Je devine qu’un homme est en train de me sucer. Comme mon Maître ne réagit pas, je me laisse faire. Un homme se glisse sur la table et me présente sa bite, je la prends en bouche et le suce goulûment. Je sens que mon sexe a beaucoup durci, l’homme suce divinement bien, j’éjacule très vite dans sa bouche, je suis un peu honteuse. Cela m’est arrivé de temps en temps de jouir très vite et j’adore ça car après l’influx et l’excitation retombe et du coup j’ai encore plus la sensation d’être un objet sexuel, les hommes disposent de moi alors que je n’ai plus d’excitation sexuelle, c’est une jouissance psychologique que j’adore.

Je pense que durant cette soirée, les huit hommes ont utilisé ma bouche et mon cul, ils se succèdent à une cadence infernale, je suis même convaincue que plusieurs passent plusieurs fois dans ma bouche et mon cul. Je reçois aussi plusieurs fois la fessée. Les hommes se parlent, ils font des commentaires sur ma bouche et mon cul, ils disent en avance ce qu’ils souhaitent faire de moi, il s’échangent leur place en commentant, j’aime beaucoup, je me sens très pute à ce moment là. Je jouis même une deuxième fois dans la nuit sous les coups de butoir d’un homme particulièrement violent. Je pense que plusieurs hommes d’ailleurs eux aussi jouissent plusieurs fois, une fois dans ma bouche, une fois dans mon cul. Je prends beaucoup de sperme dans la bouche, j avale tout, certains ont un très mauvais goût mais je n’ai pas le choix. Je sais qu’Alain qui surveille me punira si je n’avale pas. Dans le courant de la soirée, les hommes m’installent allongée sur le dos sur la table, la bouche dans le vide et ils passent un à un dans ma bouche, dans cette position, ils peuvent vraiment enfoncer leur bite loin dans ma gorge, je suffoque parfois, ils se retirent, me laissent reprendre ma respiration puis me reprennent la bouche. Deux me jouissent dans la bouche à ce moment là. En fin de nuit, ils me mettent à quatre pattes sur l’herbe et au moins cinq d’entre eux m’enculent chacun leur tour. A la fin, je ne sens plus mon corps, je me sens complètement chienne, je ne suis plus que deux trous au service des hommes. Je pense les avoir tous fait jouir. Ils partent les uns après les autres. Quand le dernier a joui dans mon cul, mon Maître me remet la laisse et nous regagnons la voiture. Alain, comme il le fait très souvent maintenant, m’envoie chez lui. Il me fait prendre une douche. Ensuite, il me fait porter la petite nuisette transparente que j’avais acheté à la boutique de lingerie et je le rejoins dans son lit. Là, durant environ une heure je le suce puis il me baise vraiment avec amour, doucement, tendrement en me félicitant de mon comportement pendant cette soirée et en me disant qu’il est très fier d’avoir une salope soumise comme moi. Après chaque soirée où je me suis pris beaucoup de bites dans la bouche et dans le cul, c’est le même rituel, je le suce pendant une bonne heure et il me baise pendant une autre heure. Puis nous nous endormons totalement épuisés. Quelquefois, dans la nuit, il me réveille s’il a encore envie de moi.

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