MISE A LA DISPOSITION DES HOMMES A L’HOTEL MA PREMIERE SEANCE DE DRESSAGE
mar 142016

Un plug dans le cul

Un plug dans le cul

CHAPITRE 5

Dans les toilettes publiques


Résumé du chapitre 4 « Ma première séance de dressage » : Alain m’a emmené chez un couple d’ amis à lui dont la femme est soumise et l’homme très dominateur. J’ai subi ma première séance de dressage sous les coups de Daniel puis les deux hommes m’ont baisée par tous mes trous comme cela m’arrive souvent depuis quelques temps.

Dans la voiture du retour, Alain me dit :

  • Tu sais que je suis très fier de toi, petite pute, dès notre première rencontre j’ai vu que tu avais un réel potentiel de soumise et que tu aimais beaucoup la bite. je t’ai mise à l’épreuve dans deux situations et tu as été parfaitement à la hauteur, au-delà même de mes espérances, tu t’es exhibée sans aucune pudeur, tu as reçu les coups de cravache, de martinet et la fessée sans broncher, j’ai vu que tu souffrais avec les pinces mais tu as su ne pas le montrer. Tu as pris les bites que je t’ai proposé dans la bouche ou dans le cul en montrant à quel point tu aimais ça. Je me rends compte aujourd’hui que tu es vraiment faite pour la bite, je vais pouvoir passer à une autre phase de ton éducation, nous allons s’occuper de tous ces contacts que tu prends depuis quelques jours sur internet. Tous ces hommes qui veulent te baiser vont se décourager et penser que tu es une petite fantasmeuse qui ne concrétise jamais en passant au réel et qui se contente de jouer les allumeuses derrière son écran comme il en existe beaucoup sur le net. Tu vas montrer à tous ces hommes que tu es une vraie pute et qu’il suffit de me demander pour pouvoir te baiser. Plusieurs hommes m’ont contacté après que tu leur ai dit qu’il fallait voir avec moi pour pouvoir t’utiliser. Nous allons donc passer au stade suivant, je veux pouvoir disposer de toi quand j’en ai envie, pour cela, tu vas me donner ton emploi du temps de tes cours, tu devras aussi me prévenir deux jours à l’avance si tu as un empêchement. Pour le reste du temps, tu devras te tenir prête et disponible, tes tenues de pute dans un sac. Si je t’envoie un SMS, tu dois être prête en une demi-heure en bas de chez toi, lavement fait, tu me donneras ton adresse, je sais que tu vis chez tes parents, je serai discret. A partir de maintenant tu dois te tenir à ma disposition, il est possible aussi que je t’envoie un SMS te demandant de te présenter à l’adresse d’un homme, je te ferai alors un compte rendu de ce qu’il attend de toi et de ce qu’il compte faire avec toi. A ton retour tu me feras immédiatement un compte rendu par mail si je ne suis pas allé avec toi, je demanderai aussi à l’homme ou aux hommes s’ils sont contents de ta prestation, s’il ne le sont pas tu seras punie. Ah, une dernière chose, je décide aujourd’hui de te prendre complètement comme soumise, dorénavant tu appelleras les autres hommes « Monsieur » et moi, tu m’appelleras « Maître ».

  • Bien Maître, je suis si heureuse, je suis à votre disposition et je vous promets de ne pas vous décevoir.

  • Très bien, salope. Dans quelques temps, je prendrai une chambre d’hôtel et je passerai une annonce sur des sites de rencontres homos à peu près rédigée comme cela : « Maître met sa pute travesti à la disposition des hommes à l’hôtel B and B de Brest Kergaradec lundi 21 mars de 19H à 4 H du matin. Elle vous attendra en bas noirs, porte jarretelles, string, bustier, cuissardes, perruque, maquillée très pute à quatre pattes sur le lit les yeux bandés, le cul offert. Vous pourrez utiliser sa bouche ou son cul comme vous voudrez. Elle suce sans capote et se fait prendre avec. Venez nombreux. » Je mettrai bien sûr une ou deux photos de toi et de ton cul sur l’annonce.

  • Très bien Maître.

Alain me dépose chez moi, je suis très fatiguée, je ne sens plus mon corps mais je sens par contre encore mes fesses, arrivée dans la salle de bain, je regarde mes fesses, en effet elles sont bien rouges. je prends une douche et je m’endors aussitôt. J’ai demandé à Alain s’il pouvait me laisser deux semaines sans trop d’activité sexuelle, je suis en plein examen et, avec ma nouvelle vie et tout ce que je viens de vivre et de découvrir, j’ai un peu délaissé mes études. Il accepte en me disant qu’il m’ ordonnera quand même plusieurs fois durant ces deux semaines de me mettre à sa disposition pour une heure ou deux, mais juste lui.

Durant ces deux semaines, je me plonge à fond dans mes révisions, c’est très difficile car je pense tout le temps à Alain, à ce qu’il veut faire de moi, je pense aussi très souvent à la bite, à celle d’Alain mais aussi à celle des hommes qui m’ont baisé depuis mon dépucelage et à tous ceux qui me baiseront par la suite.

Alain m’a envoyé un SMS plusieurs fois durant cette période, pour me voir mais aussi, je pense, pour me tester afin de voir si j’étais vraiment capable de me mettre à sa disposition en une demi-heure.

La première fois, je reçus un SMS m’ordonnant d’être une demi-heure plus tard dans des toilettes publiques tout près de chez moi, je devais venir en dessous de pute, maquillée, en escarpins avec mes vêtements de garçon par dessus. Je devais m’enfermer dans la cabine du fond, retirer mes vêtements de garçon et attendre assise sur la cuvette.

Les toilettes étaient un peu glauques avec des tags, des mots obscènes et des numéros de téléphone sur tous les murs. Je me déshabillais en ne gardant que mes bas noirs, un porte jarretelles rouge, un string rouge, un bustier rouge et mes escarpins de douze centimètres de talon. je m’installais sur la lunette des toilettes, non sans quelques réticences à cause de l’état du lieu.

On frappe à la porte, j’ouvre, Alain rentre. Je suis assise sur les toilettes, il ne dit pas un seul mot, il me présente le haut de son pantalon face à mon visage, il est à vingt centimètres de moi. Je devine immédiatement ce qu’il attend de moi sans avoir dit un seul mot. Je défais sa ceinture, j’ouvre sa braguette, je descends son pantalon. Avant de descendre son boxer, je pose mes lèvres sur son sexe encore au repos, j’y dépose d’abord quelques baisers amoureusement, je prends mon temps, je savoure même si j’ai très envie de sentir cette magnifique bite qui me fait fondre dans ma bouche. Je lèche maintenant le sexe à travers le slip qui est bien trempé. La bite d’Alain a beaucoup durcie, elle a maintenant du mal à rester emprisonnée, je la libère avec mes mains tout en la glissant dans ma bouche au fur et à mesure qu’elle sort du slip. Une fois que l’objet de mon plaisir est entièrement dans ma bouche et au fond de ma gorge, je descends le slip sur les chevilles. Tout en gardant la bite bien au fond de ma bouche, je travaille avec ma langue, je fais bien le tour du sexe, je remonte jusqu’au gland,. Je reste comme ça une dizaine de minutes puis je ressort totalement la bite, y dépose un baiser amoureux sur le bout du gland puis la reprend entièrement en bouche. Je commence de longs mouvements de va-et-vient en suçant sur toute la longueur de la bite. A ce moment là, Alain me prend la tête avec ses deux mains, il effectue un mouvement de pénétration de plus en plus violent, j’ai du mal à rester assise sous les coups de bites, il ne se pose aucune question, il se contente

de me pilonner la bouche, je sens le gland taper au fond de ma gorge. En quelques minutes, je sens les spasmes monter, le sexe tremble et Alain me crache au fond de la gorge, je garde la bite une petite minutes dans la bouche, le temps de bien la nettoyer, Alain la ressort de ma bouche, je garde le sperme quelques secondes dans la bouche puis je l’avale en fermant les yeux de plaisir. Alain se rhabille et ressort, il ne m’a pas dit un seul mot pendant tout ce temps. Je me rhabille et sors à mon tour, j’ai beaucoup aimé cette nouvelle expérience : je n’étais qu’un objet sexuel à la disposition de mon maître, il pouvait me donner rendez-vous juste pour se faire sucer, je devais être disponible et juste ouvrir la bouche sans rien dire.

Le lendemain, je reçois un mail très laconique : « Très bien ta prestation d’hier, tu as été très réactive, prête et disponible à l’heure. A partir de maintenant, je veux que tu portes en permanence un plug dans le cul afin que tu le gardes dilaté, prêt à accueillir des bites. J’ai vu que tu avais dans tes affaires un plug noir, il fera très bien l’affaire, pas trop petit pour bien te dilater, pas trop gros pour que tu puisses t’asseoir sans problème mais juste sentir que tu m’appartiens en cours ou en société. »

Quelques jours plus tard, je reçois un SMS d’Alain alors que je suis en cours : « Je sais que tu es en cours mais à la prochaine pause, tu vas dans les toilettes de la fac et tu te masturbes, tu dois te faire jouir en moins de cinq minutes ». Je comprends que par ces contraintes il veut me montrer l’emprise totale qu’il a sur moi, qu’il peut abuser de moi quand il veut ou me rappeler que je lui appartiens corps et âme. A la pause, j’obéis, je vais dans les toilettes, je me fais très vite bander et je me masturbe frénétiquement en pensant à Alain et à sa queue, je l’imagine dans ma bouche puis dans mon cul à la place du plug que je porte maintenant vingt-quatre heures sur vingt-quatre. J’éjacule en moins de trois minutes. Je ressors et retourne en cours.

Deux ou trois jours plus tard, je reçois un nouvel SMS me demandant de me trouver dans les mêmes toilettes que la fois précédente une heure plus tard. je ne pus lire le message tout de suite, j’étais en examen non programmé. Je ne vois le message que trois heures plus tard, j’envoie immédiatement un SMS à Alain pour m’excuser et lui expliquer pourquoi je n’avais pas pu me rendre au rendez-vous et pourquoi je n’avais pas pu lui répondre plus tôt. Il me répond en m’ordonnant de venir immédiatement dans un petit chemin discret près de chez moi que nous avions repéré ensemble quelques jours plus tôt. je fais mon lavement rapidement, je me maquille, je prends mon sac de vêtements et je me dirige vers le chemin. Quand j’arrive, Alain est déjà là, appuyé dehors à l’avant de sa voiture. Il me dit de me changer derrière sa voiture et de venir le rejoindre. J’avais mis mes bas, mon porte jarretelles, mon string et mon bustier sous mes vêtements de garçon avant de partir de chez moi, j’enlève mes vêtements de garçon, réajuste mes dessous, passe les escarpins et ma perruque. J’arrive près de lui. Sans un mot, il me plaque sur le capot, me plie en deux sur le capot pour bien faire saillir mes fesses, me retire immédiatement mon string , m’écarte les jambes au maximum et, là, je reçois une magistrale fessée dont je me souviendrai toute ma vie. Alain ne parle toujours pas et les coups sont extrêmement violents, à ce moment là, je n’éprouve aucun plaisir mais, au contraire, une souffrance intense, la fessée dure une bonne vingtaine de minutes et toujours de la même intensité, Alain ne se pose aucune question, il frappe. Mes fesses doivent être extrêmement rouges, j’ai très, très mal. A la fin de la fessée, Alain consent à me parler, je devine à son visage et à la violence de la fessée qu’il est très énervé :

  • Ne me fais plus jamais ce coup là, salope, quand je te fixe un rendez-vous, tu te débrouilles pour y être ou, dans un cas extrême, tu me réponds immédiatement par SMS. Ce n’est certainement pas à moi de me mettre à ta disposition, c’est toi qui dois être à mon service. Tu m’as beaucoup déçu. Si je ne peux pas disposer de toi quand j’en ai envie, on ne va pas pouvoir continuer ainsi. Moi, je cherche une petite pute docile, obéissante et toujours disponible. Nous avions convenu de ton emploi du temps, pour le reste c’est moi qui en dispose, si tu ne peux t’y soumettre, je préfère arrêter tout-de-suite.

  • Je n’ai aucune excuse Maître, je mérite entièrement la fessée que vous venez de m’infliger.

En disant ces mots, je fonds en larme, je suis si triste d’avoir déçu mon Maître.

Après ces quelques mots, Alain monte de sa voiture en me disant qu’il allait réfléchir à la suite de notre relation et qu’il me recontacterait s’il veut encore de moi. Je suis totalement effondrée, je sais que j’ai commis une grave faute et que je vais avoir du mal à me faire pardonner si j’en ai encore la possibilité. Ce n’est pas la douleur de la fessée qui me fait pleurer, c’est cet atroce sensation d’avoir déçu mon Maître.

Je n’eus plus de nouvelles d’Alain pendant un mois. J’étais très triste. Je ne savais pas s’il me faisait languir pour me faire souffrir ou s’il ne voulait plus de moi. Je continuais malgré tout à respecter ses consignes : je portais constamment un plug dans le cul, j’allais sur les sites de rencontres homos deux heures par jour mais je ne pouvais prendre aucun engagement envers tous ces hommes tant que je ne recevais pas de nouvelles de mon Maître.

A l’époque, ce n’était pas évident pour moi de me déplacer en dehors de la ville, j’avais une mobylette mais je ne pouvais que très difficilement me déplacer travestie sur cet engin, avec manteau de fourrure et en dessous féminins, avec la perruque sous le casque, en escarpins ou cuissardes, pas facile. En ville, même problème, pas évident de se déplacer en bus dans cette tenue. J’étais en train de passer mon permis et j’attendais avec impatience de l’avoir, mes parents avaient une voiture prête pour moi, il ne me manquait plus que le permis. La fin d’année scolaire arriva, je réussis mes examens et passais en deuxième année malgré une fin d’année très perturbée par Alain et mes rencontres sexuelles régulières. J’obtins aussi mon permis de conduire, ce qui m’enchanta au plus haut point, j’allais enfin être autonome, pouvoir me rendre habillée en pute à mes rendez-vous.

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ICRA

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