mar 182016

CHAPITRE 1

Nicole1Mes premières fellations


Je crois que j’ai toujours été une salope travestie dans l’âme. J’ai toujours été attirée par les bites. Je vais ici raconter ma vie de salope travestie, n’hésitez pas à me contacter pour me donner vos avis, impressions et commentaires ou pour me rencontrer sur le Finistère.

Mail: [email protected]

Mes premières expériences se déroulèrent dans un bois de rencontres homo. J’y suis allée la première fois à l’âge de dix-huit ans par curiosité. Je me suis promenée dans le bois et, très vite, il y a eu trois hommes à me suivre. J’étais un peu inquiète, je ne savais comment réagir et quelle attitude adopter. A la sortie d’un petit virage, j’en ai profité pour courir et je me suis enfuie. Mais, le fait de voir et de repenser à ces hommes qui me suivaient dans ce bois m’a beaucoup excitée par la suite et je me masturbais tous les soirs en imaginant ce qu’ils auraient pu me faire. Je me promis d’y retourner et, cette fois, de me laisser aborder par ces hommes. Parallèlement à cette envie, je rêvais de porter des dessous féminins, j’avais plusieurs fois emprunté et porté des petits strings appartenant à ma sœur d’un an plus jeune que moi.

Un samedi après-midi, je décidais donc de lui emprunter un string rose et de retourner dans ce bois. Je pratiquais comme la première fois. Je me suis mise à marcher dans les allées et assez rapidement un homme puis un deuxième m’ont suivi. J’étais très excitée de voir ces hommes attirés par moi, je me suis alors mise à rouler des fesses de façon très suggestive, exagérée même. J’avais la sensation de marcher sur des hauts talons. Je roulais de plus en plus des fesses. J’ai ralenti progressivement puis je me suis glissée dans un fourré. J’ai fait encore quelques mètres, je me suis adossée à un arbre et j’ai baissé mon pantalon, apparaissant dans mon petit string rose. Le premier homme s’est approché de moi, il devait avoir dans les quarante ans. Il a

immédiatement posé la main sur mon string et m’a caressée à travers celui-ci. Mon sexe a très vite grossi et il ne tenait plus dans mon petit string. Pendant ce temps, l’autre homme avait sorti sa bite et il se branlait doucement en me mâtant. Le premier homme m’a alors demandé si je suçais, je lui ai répondu que je ne l’avais jamais fait, que je ne savais trop comment m’y prendre mais que j’en mourrai d’envie. Il me dit qu’il allait me guider et qu’après je deviendrai sans doute accro à la bite ( Ce fut effectivement le cas, vous le verrez dans la suite de mes aventures de salope travestie. ) Il me fit mettre à genoux, la bouche à la hauteur de sa braguette et sortit son membre, il bandait déjà après la petite séance de pelotage qu’il m’avait infligé. Il me dit :

- Tu commences par poser tes lèvres délicatement sur le bout du gland.

  • Bien Monsieur

  • N’hésite pas à bien promener ta langue tout autour, titille bien le bout avec ta

    langue. Ensuite tu glisses doucement tes lèvres autour du gland, tu exerces une légère pression des lèvres et tu remontes lentement le long de la queue. Voilà, c’est très bien, tu es une bonne pute, tu apprends vite. Maintenant que tu as enfourné une première fois la bite en entier dans ta bouche, tu fais de longs va et vient le long de la queue, bien jusqu’au fond à chaque fois.

  • Bien Monsieur, je ne demande qu’à apprendre, j’ai toujours été attirée par les bites et j’aimerai progresser très vite, devenir une vraie salope reconnue, une bonne suceuse et je pense avoir très peu de limites.

Je prenais énormément de plaisir à sucer cette belle bite, je fermais les yeux et savourais chaque instant. Quand je ré ouvris les yeux, je vis que le deuxième homme s’était approché, sa bite sortie était maintenant à quelques centimètres de ma bouche. Les deux hommes se mirent à se parler :

  • C’est une petite nouvelle, c’est la première bite qu’elle suce, elle fait ça super bien, elle apprend vite cette salope.

  • Hum, une petite nouvelle, ça m’intéresse, moi je recherche une petite travestie soumise.

  • Elle n’est pas vraiment travestie, juste ce petit string. Mais je sens qu’elle a du potentiel, tu dois pouvoir en faire ce que tu veux.

J’avais très envie de répondre mais je ne le pouvais pas : pendant toute leur discussion, l’homme avait pris ma tête dans ses mains et il me baisait littéralement la bouche en accélérant progressivement la cadence. Je restais ainsi pendant une bonne dizaine de minutes à me faire baiser la bouche.

  • Je crois que je ne vais pas tarder à gicler, crois-tu que je peux gicler dans la bouche de cette salope ?

  • Tu m’as dit qu’elle ne demandait qu’à apprendre à devenir une bonne salope obéissante, alors je pense qu’il faut tout de suite lui faire goûter le sperme afin qu’elle ne puisse plus s’en passer par la suite et si elle veut vraiment faire la chienne et se mettre au service des hommes, il va falloir qu’elle apprécie le plus vite possible à se faire gicler dans la bouche et même à avaler.

La-dessus, l’homme ne pouvant plus se retenir gicla au fond de ma gorge, je sentis les jets de sperme chaud envahir mon palais, je fus un peu surprise, j’hésitais à avaler mais voyant qu’ils attendaient de moi que je le fasse, j’avalais par petites goulées le sperme.

  • Tu vois non seulement elle a pris le jus en bouche mais en plus elle a avalé et apparemment elle a apprécié cette salope.

  • Oui, je vois ça, ça va être à mon tour maintenant de me faire pomper, reste à genoux, nettoie bien ta bouche et ouvre la dès que tu es prête, je veux voir comment tu suces car j’ai quelques projets pour toi …

    J’ouvris la bouche, le deuxième homme avait baissé son pantalon mais son sexe n’était pas en érection, je devais donc le satisfaire et le faire bander rapidement, je me rappelais les conseils donnés par le premier et m’appliquais à les suivre scrupuleusement. Très vite je sentis sa queue grossir dans ma bouche, c’était pour moi un vrai plaisir et une révélation que de voir que je pouvais faire plaisir à un homme avec ma bouche. Après avoir méticuleusement léché le bout du gland avec mes lèvres et ma langue, j’ai enfourné doucement la queue au fond de ma gorge et ai commencé mes va et vient, d’abord doucement puis de plus en plus vite. Parfois je ralentissais le rythme et l’homme me demandait alors de lui lécher aussi les couilles, je me surpris aussi à beaucoup aimer cela, je prenais chaque couille en bouche et la gobais tout en y frottant ma langue. Mon partenaire aussi semblait aimer cela. Je reprenais mon travail de pompage de la queue, je m’appliquais vraiment, je voulais qu’il soit satisfait de ma prestation, je prenais de plus en plus de plaisir à sucer ces bites, à sentir ces engins grossir dans ma bouche sous la fellation, à les sentir prêts à exploser dans ma bouche et à me donner cette semence tant appréciée. Je n’eus pas à attendre très longtemps, après un petit quart d’heure de fellation, je sentis la queue grossir encore un peu, quelques spasmes agitèrent l’engin et l’homme éclata violemment dans ma bouche, je prenais ce sperme comme un cadeau je léchais bien le bout du gland et je pris mon temps pour avaler et savourer ce jus bien chaud. Une fois cette toilette terminée, l’homme se retira de ma bouche et se rhabilla.

  • Alors, il paraît que tu ne demandes qu’à être davantage chienne ?

  • Oui, Monsieur.

  • Tu sais que tu vas devoir te féminiser davantage.

  • Oui Monsieur, j’en ai bien conscience, je suis totalement débutante, je sais que j’ai encore tellement de choses à apprendre et j’ai vraiment envie de devenir un objet sexuel au service des hommes.

  • Quel âge as-tu ?

  • Dix-huit ans Monsieur.

  • Tu les as vraiment ? je ne veux pas avoir d’ennui.

  • Oui Monsieur, je les ai depuis 7 mois.

  • Bien, t’es-tu déjà faite enculée ?

  • Non Monsieur, jamais.

  • Bien, il va falloir te dépuceler alors. Car j’aimerai que tu mettes autant ta bouche que ton cul à la disposition des hommes.

  • Bien Monsieur.

  • Tu vas aussi devoir t’équiper de différentes tenues de chienne, apparemment tu veux devenir une vraie petite salope travestie, je vois que tu as un corps fait pour ça et tu sembles aussi avoir la mentalité pour. Je vais te laisser un peu de temps pour te constituer ton dressing mais il va falloir que tu t’achètes en urgence le minimum pour débuter. Tu peux tout trouver sur internet, plus tard je t’obligerai à aller en boutique et à bien préciser à la vendeuse que c’est pour toi. Dans l’immédiat tu vas acheter des bas, un porte jarretelles, un string un bustier, tout ça en noir. Plus tard et assez vite, tu devras acheter des escarpins à talons de 12 cm, des cuissardes, une perruque, une mini jupe et un manteau en fourrure. Tu devras ensuite te constituer plusieurs tenues différentes. Tu es jeune, tu ne dois pas avoir beaucoup d’argent, au début je t’en donnerai un peu, j’ai pas mal de contacts qui cherchent à baiser une petite jeune comme toi.

J’acceptais bien sûr les conditions, je dus lui donner mon numéro de portable. Il me laissait une semaine pour commencer ma garde-robe de salope et me recontacterait.

Cette séance dans ce parc de Brest m’avait beaucoup excitée et devait marquer le point de départ d’une vie entière consacrée à donner du plaisir aux hommes, une vie entière à vénérer la bite. Je repensais tout le temps à ce que ces deux hommes m’avaient fait et surtout à tout ce qu’ils m’avaient dit. Je me demandais si le deuxième homme qui se prénommait Alain me rappellerait ou si ce n’était qu’un fantasme de sa part, il m’avait donné son prénom pour que je lui réponde immédiatement s’il m’envoyait un SMS. Nous avions convenu de communiquer, dans un premier temps par SMS, vivant encore chez mes parents et étant souvent en cours, je ne pouvais pas toujours répondre au téléphone surtout compte tenu du genre de dialogue que nous risquions d’avoir.

Il était urgent que je commence à me constituer ma garde robe de chienne. J’allais donc sur internet sur des sites de vente de dessous féminins, je devais rapidement commander des bas, un porte jarretelles, un string et un bustier. Mais le problème de la livraison se posait, je vivais chez mes parents, je ne pouvais faire livrer tout ça chez eux ( j’appris par la suite que je pouvais faire livrer en poste restante). Je décidais donc d’aller voir dans une grande surface, plus anonyme à mes yeux. J’avoue que la première fois j’étais très gênée dans les rayons des bas et des dessous féminins. Je choisis très vite des bas noirs opaques taille 4, un porte jarretelles et un string noir, mais je ne trouvais pas de bustier dans ce magasin, je dus aller dans un autre où je trouvais mon bonheur. Je rentrais chez moi très excitée et m’enfermais dans ma chambre. J’essayais frénétiquement cette tenue, j’ai la chance d’être presque imberbe mais Alain avait quand même exigé que je me rase le pubis, ce qui me paraissait évident. Je le fis donc avant d’enfiler les bas, d’ajuster le porte jarretelles, de mettre le string et le bustier, je me regardais dans le miroir, je me trouvais assez excitante même si je savais pertinemment qu’il y avait encore beaucoup de travail et de transformation à opérer pour devenir une vraie pute sexy.

Je rêvais de sentir des mains d’hommes effleurer mes bas, s’insinuer dans mon string, je rêvais d’être à genoux dans cette tenue face à une bite bien tendue et de la prendre en bouche. Je commençais de plus en plus à fantasmer sur la pénétration, je m’imaginais à quatre pattes dans cette tenue en train de me faire limer, une bite bien au fond de mon cul et deux mains qui m’enserrent la taille pour mieux me pilonner.

Je m’interrogeais aussi beaucoup sur ce qu’Alain comptait faire de moi, il m’ avait dit qu’il avait des projets pour moi, j’avais hâte d’en savoir davantage.

A cette époque je regardais aussi beaucoup de films pornos sur le net, exclusivement des films de travestis et transsexuelles. Je m’imaginais aisément à la place de toutes ces actrices, leurs tenues me faisaient rêver, leurs attitudes provocantes, leurs exhibitions devant plusieurs hommes ou en extérieur, les scènes où elles se font baiser par plusieurs hommes à la chaîne, tout cela m’excitait énormément, je me masturbais trois ou quatre fois par jour et je jouissais devant ces films en rêvant d’être à leur place.

Une semaine plus tard, je reçus un SMS d’Alain : « Je te veux cet après-midi à quinze heures au même endroit que l’autre fois, dans le fourré appuyée à l’arbre, assure toi que personne ne t’a suivie, je te veux exclusivement pour moi. Tu retireras tes vêtements d’homme, tu t’appuieras à l’arbre seulement vêtue de tes bas, du porte jarretelles, du string et du bustier et tu m’attendras dans cette tenue. »

Ce SMS m’excita au plus haut point : ainsi il voulait vraiment me revoir, en plus, il était très directif, j’adore cela.

Je me préparais donc fébrilement dans ma chambre, j’enfilais mes bas, comme j’avais pris une taille 4 ils montaient bien haut sur mes cuisses, j’ajustais parfaitement le porte jarretelles, puis j’enfilais le string après bien sûr pour qu’Alain puisse me le retirer s’il le souhaitait, et enfin je mettais le bustier qui me serrait bien la taille, c’était une agréable sensation. Je remis mes vêtements de garçon par dessus, ça me gênait mais je n’avais pas le choix pour pouvoir sortir dans la rue. Peut-être que plus tard …

mar 172016

La pute à quatre pattes

La pute à quatre pattes

CHAPITRE 2

Je me fais enculer pour la première fois.


Résumé du chapitre 1  « Mes premières fellations »: Je suis Nicole, travesti soumise et très exhibe. Ma première rencontre avec une bite a eu lieu à l’âge de 18 ans dans un parc de rencontres homo à Brest. Après avoir sucé ma première bite, j’ai fait la connaissance d’Alain qui m’a donné un nouveau rendez-vous dans le même parc aujourd’hui. Il a, m’a t-il dit, des projets pour moi ; je n’en sais pas plus pour l’instant mais j’avoue que je suis impatiente de le retrouver et d’en savoir davantage sur ses projets.

Alain avait donc exigé que je retourne au même endroit que là où nous nous étions rencontrés la première fois, il m’avait fait acheter des dessous de pute et je devais enlever mes vêtements de garçon, ne porter que les bas noirs, le porte jarretelles, le string et le bustier noirs et m’adosser à l’arbre dans le bosquet dans cette tenue.

J’étais donc dans cette tenue, appuyée contre l’arbre, je me sentais très pute même si j’avais conscience de n’être qu’aux prémices de ma féminisation. J’entendis un bruit de branchage et Alain apparut. Mon cœur palpitait. Il arriva avec une petite couverture sous le bras. Il étala la couverture par terre sans un mot.

  • Ah, voilà ma petite pute bien docile, elle a fait exactement ce que je lui ai demandé, c’est bien. Tu me répondras toujours en ponctuant tes phrases d’un « Monsieur » respectueux. Quand tu me réponds par SMS, pareil, toujours un « Monsieur » avec un M majuscule. Cela marque ta soumission à moi et le respect que tu dois toujours avoir envers moi.

  • Bien Monsieur.

  • Tu sais qu’aujourd’hui, tu vas te prendre ta première bite dans le cul, petite salope, après tu seras aussi accro aux bites dans le cul que tu l’ai devenue pour les bites dans la bouche.

  • J’espère Monsieur, je rêve de n’être plus qu’un objet sexuel au service des hommes.

  • Ne te fais pas de soucis pour ça, tu vas vraiment le devenir, salope. As-tu bien fait ton lavement comme je te l’ai demandé ?

  • Oui Monsieur.

  • C’est très bien, tu as commencé ta garde robe de pute travesti, c’est un peu succinct pour l’instant mais c’est un début prometteur, tu devras compléter tes tenues et apprendre à te maquiller. Tu devras aussi t’acheter des vêtements de femme afin de pouvoir aller à tes rendez-vous en femme, tu devras aussi apprendre à marcher avec des très hauts talons.

  • Bien Monsieur.

Tout en parlant, il faisait le tour de l’arbre et m’examinait dans les moindres détails.

  • Tu as un corps très féminin et tu es imberbe, ça va être un plaisir de te féminiser, de te diriger et de te livrer à d’autres hommes. Mais pour l’instant, je dois encore te tester, t’utiliser, visiter tous tes trous. Mets toi à genoux , descends mon pantalon et mon boxer, tu ne dois utiliser que tes mains dans un premier temps, fais moi bander juste avec tes mains, tu utiliseras ta bouche quand je te le dirai.

  • Bien Monsieur.

Je m’agenouille face à lui, lui défais sa ceinture et lui descends sa braguette. Puis je descends le pantalon et le boxer. Je suis déjà très excitée, cela fait une semaine que je rêve d’une bite dans la bouche et que j’attends ce moment. La bite apparaît totalement détendue, je dois donc faire bander Alain juste avec mes mains. Je glisse une main entre les cuisses et je prends les deux testicules dans ma main, pendant ce temps l’autre main emprisonne délicatement le gland et je titille le bout avec mon pouce. Tout en malaxant délicatement et amoureusement les couilles de mon amant d’une main je commence des petits mouvements circulaires du pouce de l’autre main sur le bout du gland. La réaction ne se fait pas attendre, en quelques secondes, la bite grossit dans ma main et atteint sa taille maximale, je rêve de sentir ce bel engin glisser doucement entre mes lèvres, frotter ma langue et entrer au plus profond de ma bouche. Je descends un peu ma main le long de la queue tout en laissant l’autre sous les couilles et je commence à branler Alain par un lent mouvement. Il semble beaucoup apprécier et pousse de petits râles. Je le branle le plus doucement possible, il n’est pas question que je le fasse jouir avant qu’il m’en donne l’autorisation.

  • Arrête là pour l’instant, mets tes mains dans ton dos, je vais te les attacher.

  • Bien Monsieur.

Il se dégage un peu, passe derrière moi et m’attache les mains avec un foulard puis il revient face à moi.

  • Ouvre juste la bouche, maintenant tu vas travailler juste avec la bouche, sans les mains.

J’ouvre grande la bouche, il pose le bout de son gland sur ma lèvre inférieure. Je n’avance pas les lèvres pour l’instant, je me contente de frotter le bout de ma langue sur l’extrémité du gland afin de sentir son odeur, de goutter les premières gouttes qui apparaissent. J’ai tellement attendu ce moment, je me sens si bien avec une bite dans la bouche que je savoure chaque instant, je me sens totalement à la merci de cet homme avec les mains liées dans le dos et j’adore ça. J’agrandis progressivement les cercles que j’effectue avec ma langue sur le gland. Quand ma langue arrive au bord du prépuce, je laisse glisser mes lèvres tout autour de la queue et je remonte doucement jusqu’en haut. Quel sublime délice de sentir cette bite entrer bien au fond de ma gorge, le bout touche le fond de mon palais, je fais tourner ma langue autour du sexe mais ce n’est pas facile, ma bouche est entièrement remplie par ce sexe d’homme en totale érection maintenant, j’ai la sensation qu’il peut exploser d’un moment à l’autre. Je prie pour que cela n’arrive pas, j’aimerai tant recevoir cette bite dans le cul et ainsi connaître pour le première fois la sodomie. Je redescends doucement ma bouche le long de cette superbe bite jusqu’à la sortir entièrement de ma bouche, je pose un baiser soumis sur le bout, puis ré-ouvre la bouche et reprends la bite entièrement en bouche. Je fais attention d’aller le moins vite possible afin de ne pas faire jouir mon amant.

  • Arrête de sucer, reste immobile la bouche ouverte, je vais te baiser la bouche salope.

Aïe, j’ai très peur qu’il ne jouisse rapidement dans ma bouche en pratiquant ainsi mais, bien évidemment, je n’ai pas le choix, je suis à sa disposition, ma bouche est à sa disposition, il peut m’utiliser comme il le désire, je sens de plus en plus progressivement son emprise s’insinuer en moi. Je reste donc à genoux, parfaitement droite, les mains liées dans le dos, la bouche bien ouverte, il pose sa bite sur le bord de mes lèvres, je les referme sur l’engin et il commence ses mouvements de va-et-vient dans ma bouche en me tenant la tête de ses deux mains. Rapidement, il me baise littéralement la bouche, lentement d’abord puis de plus en plus vite. Mes craintes étaient infondées, il me lime comme cela pendant un bon moment sans éjaculer. Je suis aux anges, je me sens vraiment très pute comme ça.

  • Bon, là je suis très excité, je vais pouvoir tester un autre trou maintenant, je vais te prendre le cul salope, je vais te détacher les mains et tu vas te mettre à quatre pattes, les jambes bien écartées. C’est en levrette que je préfère enculer les salopes travesties comme toi, c’est ainsi qu’elles sont le plus soumises et totalement offertes aux bites.

Il me détache les poignets, je change de position, il était temps, je ne sentais plus mes genoux, Alain me place en levrette au milieu de la couverture, il m’écarte bien les jambes. Je me sens très pute dans cette position, j’adore ! Il se place derrière moi, écarte mon string, m’enduit la rondelle de lubrifiant, le fait de sentir ce doigt lubrifier mon petit trou et s’y introduire légèrement me met déjà aux anges mais j’ai quand même une grande appréhension car entre apprécier un doigt et recevoir une belle bite dans le cul, il y a une différence. Je n’ai jamais pris de bite dans le cul, je suis totalement vierge mais je ne rêve plus que de ça. Alain abandonne mon cul un instant pour se mettre un préservatif. Je sens l’extrémité de sa bite se poser au bord de mon petit trou de pute, ses deux mains se posent sur mes reins. Je suis très inquiète mais j’ai tellement envie de recevoir cette bite dans le cul que rien ne peut m’arrêter.

  • Comme tu es vierge, je vais y aller doucement ma pute mais plus tard tu devras prendre des bites de façon plus brutale, ton cul devra être toujours bien dilaté.

Dés les premiers centimètres de pénétration mes inquiétudes se confirment : comment vais-je pouvoir accueillir cette bite jusqu’au fond de mon cul ? Les premières secondes sont un peu douloureuses, je sens la queue qui me pénètre certes doucement mais mon amant doit quand même forcer l’entrée, il se retire quelques secondes puis replonge dans mon petit trou, il fait quelques petits va-et-vient avec à peu près la moitié de sa bite en moi. Il se retire entièrement pour m’enduire une nouvelle fois la rondelle de lubrifiant puis y réintroduit sa queue, elle glisse facilement cette fois-ci et se retrouve tout au fond de mon cul. La douleur du début a disparu et fait maintenant place à un intense plaisir, je sens mon cul très ouvert, la bite y glisse maintenant aisément, mon amant accélère progressivement le rythme. Je sens maintenant les coups de boutoirs dans mon cul, je sens les couilles qui tapent au bord de mon petit trou à chaque fois que la verge est au fond de moi. Alain a maintenant totalement pris possession de mon cul et de mon corps, je pousse des petits cris mais je ne veux pas nous faire remarquer. Je sais dès ce moment là que je vais devenir complément dépendante à la bite et aux hommes en général, j’aime trop la bite, tant dans ma bouche que dans mon cul pour pouvoir dorénavant m’en passer.

J’en suis là de mes réflexions pendant qu’Alain m’encule de plus en plus frénétiquement. Cela doit faire une bonne vingtaine de minutes qu’Alain me pilonne, je suis secouée dans tous les sens sous les coups de boutoir, mon amant m’agrippe violemment les fesses, je sens mon cul très ouvert, c’est une agréable sensation.

  • Eh bien ma salope, tu aimes çà hein, tu es faite pour la bite toi. Et que c’est agréable d’enculer une petite jeune comme toi surtout avec un si joli petit cul ! J’avais remarqué l’autre jour que tu as vraiment une bouche à pipe mais tu as aussi un bon petit cul de pute fait pour les bites, et c’est un régal de te voir te trémousser sur la queue, tu aimes vraiment çà !

  • Oh oui, Monsieur, j’adore çà, j’adore la bite !

Il avait encore accéléré ses coups de bite en me parlant, je sentais qu’il n’était pas loin d’exploser mais qu’il était endurant, c’était impressionnant ! Moi j’étais aux anges, je n’avais plus aucune appréhension ni aucune douleur, je me concentrais sur cette phénoménale pénétration, j’appréciais chaque centimètre de bite qui me rentrait dans le cul, Alain ressortait parfois presque entièrement sa queue puis il la replongeait maintenant sans ménagement au fond de mon cul. Je le sentais accélérer de plus en plus la cadence, je sentais qu’il allait bientôt éjaculer, j’étais très fière de sentir que cet homme allait jouir dans mon cul dans la capote. Il agrippa violemment les hanches et éjacula dans un râle. Je me sentais très pute dans cette position, à quatre pattes, mes jambes ne me tenant presque plus, avec cet homme totalement satisfait qui avait encore sa bite en moi et qui commençait à se détendre.

  • Dis donc, petite salope, pour quelqu’un qui ne s’était encore jamais fait enculer, tu es douée, tu es vraiment faite pour la bite, j’ai l’impression que l’on pourrait te bourrer le cul pendant des heures tu en demanderais encore, c’est parfait ! Tu as un magnifique petit cul, un petit trou très accueillant et qui s’ouvre bien et tu es si jeune avec un tel potentiel ! Je veux vraiment faire de toi un objet sexuel au service des hommes. Tu vas vraiment devoir te féminiser, je veux que tu t’assimiles totalement en tant que femme. Je vais déjà te commander des cuissardes, je trouve que ça fait très pute, une mini jupe en cuir et un manteau de fourrure. Comme tu m’as dit que tu ne pouvais pas faire livrer chez toi, ça arrivera chez moi. Je vais payer tout ça et quand ça arrivera je te prendrais en photo dans ta tenue de pute et je passerai des annonces sur internet pour te mettre à la disposition des hommes.

  • Vous comptez me livrer à d’autres hommes, Monsieur ?

  • Exactement, tu as besoin de te faire baiser très régulièrement et par plusieurs, autrement tu risques d’être en manque de bite rapidement maintenant que tu y as goûté.

  • Bien Monsieur.

  • On se retrouve dans quelques jours, je vais réfléchir à tout ce que je vais pouvoir faire avec toi d’ici là petite pute.

mar 162016

La pute en laisse

La pute en laisse

CHAPITRE 3

Séance photos


Résumé du chapitre 2 « Je me fais enculer pour la première fois »: Après avoir fait mes deux premières fellations dans un parc de Brest où j’y ai rencontré Alain, il m’a demandé d’y revenir une semaine plus tard habillée en dessous de pute pour me faire baiser. Dans ce bosquet très discret je vais vivre une révélation, Alain va m’enculer pendant une bonne demi-heure, c’est la première fois que je me fais prendre et je vais adorer cela. A partir de ce moment là, l’essentiel de ma vie va tourner autour des hommes et de leur bite.

Après cette nouvelle découverte : la sodomie, je rentre chez moi, épuisée, l’anus en feu et les jambes en coton mais tellement, tellement heureuse. Je sais maintenant que je veux faire de ma vie la vie d’une pute travestie, je me sens si bien en dessous féminins, je me sens si bien avec une bite dans la bouche ou dans le cul, c’est si agréable de voir que les hommes prennent du plaisir dans votre bouche ou dans votre cul, que ça les excite de vous soumettre, de vous humilier, de vous baiser, j’adore ce rôle, je m’y sens si bien ! En plus de cette première sodomie avec Alain, il s’est passé quelque chose d’autre, je sens de plus en plus que je lui appartiens, il sait prendre possession de mon cul mais aussi de mon esprit, de tous mes sens, de toutes mes pensées, je ne pense plus qu’à lui, j’attends son prochain SMS avec impatience et fébrilité. A dix-huit ans, je n’ai jamais fait l’amour avec une femme. Avant je fantasmais sur les femmes mais là , je n’en ai plus du tout envie, je veux me consacrer exclusivement aux hommes.

Alain m’a dit qu’il s’occupait de me commander des cuissardes, une mini jupe et un manteau de fourrure. Il m’a aussi ordonné d’apprendre à me maquiller pour faire totalement femme, il m’a dit que je trouverais tous les conseils nécessaires sur internet et que je devais m’occuper de ça avant qu’il ne me recontacte. Je me plonge donc dans cette recherche, je vais en grande surface acheter le nécessaire pour me maquiller : fond de teint, rouge à lèvres, fard à paupière, faux cils, mascara, vernis à ongles … Je consacre des heures à m’entraîner seule dans ma chambre et au bout de quelques jours, je suis très satisfaite du résultat, en me regardant dans le miroir je me trouve très crédible, je fais très femme, c’est même impressionnant. Il y a cependant quelque chose qui me gène, ce sont mes cheveux, Alain ne m’a pas parlé de perruque, peut-être a t-il oublié, par contre il m’a informé que je pouvais commander sur le net et me faire livrer en poste restante puisque je ne peux pas faire livrer chez moi, je vis encore chez mes parents. Je vais donc surfer sur internet et je craque rapidement pour une perruque brune mi longue qui m’irait parfaitement me semble t-il, je l’achète et la fait livrer en poste restante, elle devrait arriver d’ici quatre ou cinq jours. Je ne pense plus qu’à me féminiser, je vais en cours mais j’ai du mal à me concentrer. Je regarde encore plus qu’avant les vidéos de transsexuelles et de travestis sur internet mais plus pour me masturber devant les films mais beaucoup plus pour apprendre à me maquiller comme elles, à m’habiller comme elles, je rêve de vivre tout ce que je vois sur ces films.

Parallèlement, je vais de plus en plus sur les sites de rencontres homos, je ne sais pas si Alain me le permet, il ne m’a donné aucune consigne particulière là-dessus, je ne sais pas si je peux faire d’autres rencontres ou me réserver à lui, je verrai ça plus tard. Sur ces sites, j’ai très vite beaucoup de contacts, une petite pute travestie de dix-huit ans, ça intéresse, j’en prends très vite conscience. Je me rends compte qu’il faut vite qu’Alain me dise si je peux faire d’autres rencontres ou s’il me l’interdit car beaucoup des hommes contactés sur le net veulent me rencontrer, moi aussi, bien sûr j’en meure d’envie. Quelques jours plus tard, je reçois un SMS d’ Alain : « Nous avons rendez-vous mardi à dix-huit heures chez un copain à moi qui fait des photos. Je te donnerai l’adresse mardi, tu arrives maquillée ».

J’étais très fébrile pendant quelques jours, Alain voulait que je me fasse prendre en photos, quelles étaient ses intentions ?

Le mardi matin, je reçois un nouvel SMS :  « Je passe te chercher devant l’entrée du parc où nous nous sommes rencontrés à dix-sept heures trente, j’espère que tu es parfaitement maquillée, assez provocante, assez pute. »

J’attendis sur le trottoir environ cinq minutes, j’étais un peu gênée car c’est près d’un lieu de rencontre homo et mon maquillage très pute ne semblait pas laisser indifférents les hommes qui passaient, ils me regardaient fixement.

Alain arrive, je monte dans sa voiture, il inspecte mon maquillage ( une belle couche de fond de teint, des faux cils assez longs, du vert à paupière, les sourcils épilés et du rouge à lèvres bien rouge et à haute résistance, un vernis à ongles rouge également ).

Mon maquillage lui convient parfaitement, il me dit même que je fais déjà très pute comme ça, je suis flattée. Je lui dis que je me suis aussi acheté une perruque, je la lui montre, il est très satisfait de moi. Tout en roulant, il m’explique qu’il veut faire des photos de moi en tenue de pute afin de faire un blog sur lequel il me dévoilera aux hommes et par l’intermédiaire duquel ces hommes pourront prendre contact avec lui s’ils désirent me baiser. A ce propos je lui avoue que je suis allé sur des sites de rencontres homo et que j’ai pas mal de contacts d’hommes qui veulent me rencontrer. Il me répond qu’il est hors de question, ce dont je me doutais un peu, que ces hommes doivent passer par lui, il ne m’interdit pas d’aller sur ces sites mais je dois donner son mail aux hommes. Ils pourront aussi très vite le contacter par le blog. Il m’annonce aussi qu’il compte me dresser sérieusement, que je devrais subir la fessée, la cravache, divers godes et plugs, les pinces, les liens, le bondage etc … que je découvrirai tout cela progressivement, il m’annonce aussi que je devrais parfois aller chez des hommes pour des séances de soumission, qu’il y a beaucoup d’hommes mûrs qui recherchent des petites jeunes travesties soumises.

Tout en parlant, nous arrivons chez son copain photographe. Alain me présente rapidement et m’indique une pièce où je peux aller me préparer.

J’avais apporté toutes mes affaires dans un sac. J’enfile des bas noirs opaques, le porte jarretelles, un petit string noir, mon bustier. Alain a reçu les cuissardes et il m’a dit de les mettre, il a également reçu la mini jupe et le manteau de fourrure, mais pour les photos il veut que je sois juste en dessous de chienne avec les cuissardes. J’ajuste également la perruque, je me regarde dans le miroir, c’est impressionnant ; ainsi vêtue, maquillée, avec ma perruque je fais parfaitement femme. Alain vient me chercher et me conduit dans un vrai petit studio photo. La séance dure environ quarante minutes, les deux hommes me font prendre des positions très suggestives, je suis un peu gênée mais en même temps j’adore, leurs commentaires m’excitent également beaucoup. Pour finir, Alain me demande de retirer mon string, il veut également faire quelques photos où l’on voit bien mon sexe et surtout quelques photos de mon anus en gros plan. Puis il dit à son copain qu’il aimerait aussi faire quelques photos de moi en action en train de sucer et de me faire baiser, que mon visage devra être visible sur les photos par contre pas le sien.

Il se déshabille totalement, me fait me mettre à genoux face à lui les mains dans le dos comme l’autre jour, il bande déjà suite à la séance photo, il introduit immédiatement sa belle bite dans ma bouche, je commence à le sucer amoureusement. Oh que je rêvais de cette belle queue dans ma bouche. En même temps j’entends les clics de l’appareil photo et je vois les flashs qui visent ma bouche et la bite de mon amant. Je garde cette position une bonne dizaine de minutes puis Alain se retire de ma bouche, passe derrière moi, me fais mettre à quatre pattes, enfile un préservatif, m’enduit le petit trou de lubrifiant et m’encule sans ménagement. Il me tient bien les hanches avec les mains, il me pilonne vraiment bien au fond tout de suite et de façon assez violente. Je vois son copain qui mitraille, tant mon cul qui se fait bien prendre que mon visage où j’exprime mon plaisir intense, j’aime toujours autant sentir sa bite dans mon cul. Alain me baise comme cela une demi-heure pendant que son copain prend les photos puis celui-ci décide de poser son appareil photo, je le vois déshabiller, il bande aussi très fort, il est lui aussi très excité par la séance photo, il a une bite impressionnante, je le vois s’approcher de ma bouche, je suis un peu inquiète, vais je pouvoir prendre cet énorme engin dans ma bouche et s’il désire m’enculer, vais-je pouvoir prendre sa bite dans mon cul ?

Il présente son sexe au bord de ma bouche, je sais tout-de-suite ce que j’ai à faire, j’ouvre la bouche très grande, il y glisse sa queue sans trop de difficulté, je suis surprise. Il commence assez vite à me baiser la bouche pendant qu’Alain m’encule toujours. Je suis secouée des deux côtés par les coups de bites, que je suis bien comme ça !

Au bout d’une vingtaine de minutes durant lesquelles je sens ces deux bites me prendre par mes deux trous, je prends un plaisir intense, je me sens vraiment très pute dans cette situation, c’est comme cela que je me sens le mieux. Je sens Alain qui accélère la cadence, je sens ses mains qui se crispent sur mes hanches et il jouit dans le préservatif en poussant un râle qui me comble de satisfaction, une fois encore j’ai fais jouir mon maître. Je l’entends alors qui dit à son copain :

  • On va échanger nos trous tous les deux, tu vas limer cette pute avec ta grosse bite et pendant ce temps elle va bien me nettoyer la queue avec sa langue.

  • OK, on change, ne bouge pas salope, je vais bien te limer ton petit cul.

  • Bien Monsieur.

Alain passe devant moi, retire sa capote et me glisse sa bite dans la bouche. Je m’applique à bien nettoyer le gland avec ma langue. Pendant ce temps, le photographe enfile un préservatif et glisse doucement sa bite à l’entrée de mon cul, Alain m’ayant bien travaillé le cul pendant un bon moment, la bite rentre assez facilement à ma grande surprise. Je la sens encore plus que celle d’Alain au fond de moi et quand il commence à me pilonner sérieusement je sens une très légère douleur mais qui se transforme très vite en plaisir intense. Pendant que je termine de bien nettoyer la bite d’Alain, son copain est maintenant arc-bouté contre mon cul, il s’est soulevé sur la pointe des pieds afin de pouvoir me pénétrer bien en profondeur, j’ai du mal à garder ma position tellement les coups de boutoir sont violents. l’homme m’encule comme ça pendant quelques minutes puis jouit violemment dans mon cul dans la capote et , cela ne m’était encore jamais arrivé, en même temps qu’il jouit dans mon cul, je jouis moi aussi sans même avoir bandé, je ne crois pas ce qui m’arrive, j’ai joui uniquement du cul, je ne savais pas que cela pouvait arriver, plus tard cela m’arrivera assez souvent.

mar 152016

La pute vue de face

La pute vue de face

CHAPITRE 4

Ma première séance de dressage


Résumé du chapitre 3 « Séance photos » : Alain m’a amené chez un photographe, il voulait prendre des photos de moi en tenue de pute afin de passer des annonces sur le net pour me mettre à la disposition des hommes. Son ami photographe a pris quelques photos de moi dans des positions très suggestives, puis d’autres photos pendant qu’ Alain me baisait et enfin je me suis faite baiser par les deux hommes à la fois, un dans mon cul, un dans ma bouche.

Après que les deux hommes aient bien joui tous les deux dans mon cul et que moi aussi j’ai joui sous leurs coups de boutoir, nous avons quitté le photographe, il a dit à Alain qu’il lui envoyait immédiatement les photos par mail. Sur le chemin du retour, dans la voiture, Alain me dit qu’il était très fier de moi, que je me mettais totalement à sa disposition et à celle de tous ceux qui désiraient me baiser, que c’est cela qu’il attendait de moi. Il me rappela aussi que beaucoup d’hommes recherchent une jeune pute travestie comme moi mais qui soit totalement soumise et qui accepte d’être fessée, fouettée, attachée et bien sûr baisée. Il souhaitait voir si j’étais capable de recevoir et d’accepter tout cela et il estimait qu’il était temps de commencer mon éducation et mon dressage. En effet, je lui avais dit que je n’avais jamais pratiqué mais que j’étais prête à le faire pour le satisfaire, pour satisfaire tous les hommes et pour découvrir ce qu’est la soumission. De toutes façons, je sentais bien que je ne pouvais plus refuser, que j’étais déjà allée trop loin pour faire marche arrière et qu’Alain n’aurait pas accepté un quelconque signe de réticence de ma part. De plus je me sentais totalement sous son emprise, je ne pouvais plus rien lui refuser et je n’en avais pas intérêt. Je commençais d’ailleurs vraiment à être amoureuse de lui. En quelques semaines il avait fait de moi une vraie salope toujours en attente de bite, de la sienne bien sûr mais aussi de toutes celles qu’il désirait.

Alain me dit que lui n’avait pas le matériel nécessaire pour me punir mais qu’il avait un couple d’amis qui avait aménagé son garage. L’homme était très dominateur et sa femme totalement soumise, ils avaient installé, une croix de Saint-André, un sling, une table gynéco, ils avaient toute une batterie de cravaches, de fouets, de martinets, de pinces, de godes et de plugs, de chaînes, de liens de toutes sortes.

Il me dit qu’il voyait avec eux quand il pourrait utiliser leur local et qu’il me contacterait par SMS. J’étais très fébrile : je ne connaissais pas la plupart des instruments dont il m’avait parlé, je ne savais pas si je supporterais la douleur mais je n’avais plus mon mot à dire.

J’avais de plus en plus de mal à aller en cours, toutes mes pensées étaient occupées à penser à Alain et de façon plus générale à la bite des hommes. Seule dans ma chambre je me perfectionnais sérieusement sur l’habillage et le maquillage par l’intermédiaire d’internet. Alain m’avait dit qu’il s’occupait de m’acheter des dessous et des tenues de pute, qu’il se rembourserait plus tard en me livrant aux hommes et en les faisant payer parfois. Sur internet, j’allais aussi de façon régulière sur les sites de rencontres homos, Alain m’avait autorisé à y aller, mieux encore il m’avait obligé à y aller au moins deux heures par jour pour trouver des hommes, mais je devais leur dire de voir avec lui pour concrétiser une rencontre. Alain venait lui aussi régulièrement sur ces sites pour me surveiller et voir si j’y étais. Il avait reçu les photos de son ami et m’avait envoyé quelques unes à publier sur les sites d’annonces.

Quelques jours plus tard, je reçois un SMS d’Alain me disant de me trouver à notre point de rendez-vous habituel pour que nous allions chez le couple possédant un donjon. Il me demande de venir cette fois au rendez-vous totalement habillée en femme avec des bas noirs, un porte jarretelles rouge, un string rouge, un bustier rouge, avec la perruque et parfaitement maquillée, un peu moins pute cette fois, je devais faire crédible dans la rue sans choquer, il me dit de mettre mes cuissardes et le manteau en fourrure. Comme la fois précédente, j’attends une dizaine de minutes sur le trottoir mais, paradoxalement, je vois beaucoup moins de regards se poser sur moi, je prends alors conscience que je fais très femme et que personne n’ait étonné.

Alain arrive, je monte dans la voiture et nous roulons une bonne demi-heure pour sortir de Brest. Dès la sortie de Brest, sur la route de campagne, il m’ordonne d’ouvrir sa braguette et de le sucer jusqu’à ce que nous arrivions, je me jette littéralement sur sa bite, j’en avais tellement envie, il durcit très vite et je peux alors effectuer de longs va-et-vient sur sa queue avec ma bouche tout en le caressant avec ma langue. Cette bite semble vraiment parfaitement adaptée à ma bouche. Il conduit encore une vingtaine de minutes pendant que je le suce puis nous arrivons, il referme son pantalon, je replace ma perruque qui avait un peu bougée pendant que je le suçais et nous sortons de la voiture. Daniel et Martine nous attendent derrière la porte du garage, nous entrons, Martine est entièrement vêtue de latex : bas, string, guêpière, escarpins, elle est très belle, brune et élancée. Elle est à quatre pattes et tenue en laisse. Daniel est aussi très bel homme, belle carrure, au moins un mètre quatre-vingt-dix pour quatre-vingt-dix kilos. Alain me présente :

  • Salut Daniel, je t’amène cette petite pute travesti, je viens de la prendre en main, c’est déjà une très très bonne salope, elle suce divinement bien et se fait baiser avec plaisir, mais moi je désire en faire aussi une pute soumise, je veux qu’elle accepte les sévices comme elle accepte la bite.

  • Très bien, pas de soucis, dis-donc Alain, tu les prends de plus en plus jeune, elle est majeure au moins ?

  • Oui, elle a dix-neuf ans.

  • Hum, super, je vais apprécier de la faire m’obéir et de voir sa peau rougir sous mes coups. Tu restes là ou tu me la laisses ?

  • Je vais rester, je veux voir comment elle réagit et si elle est bien réceptive aux coups. Nicole, tu répondras à Daniel comme tu me réponds : en disant Monsieur.

  • Bien Monsieur.

Entre temps, Daniel est allé chercher un collier et une laisse :

  • Nicole, retire ton manteau et mets toi à quatre pattes.

  • Oui Monsieur.

  • Oh là ! Elle a un superbe corps cette salope.

Il me met le collier, y attache la laisse, il me met aussi un bandeau sur les yeux et me fait le suivre jusqu’à un anneau fixé au mur où il y attache l’autre extrémité de la laisse. Alain l’a suivi, ils se reculent tous les deux et admirent mon cul en faisant des commentaires :

  • Elle a aussi un magnifique petit cul cette petite pute, on doit être bien à l’intérieur.

  • Oh oui, elle a un superbe petit trou et elle adore la bite, tu sais qu’elle est presque vierge, elle ne s’est fait prendre la bouche que par deux autres mecs plus moi pour l’instant et son cul seulement par un autre il y a quelques jours.

  • Hum, très bien, je vais me régaler. Tends un peu plus ta croupe, chienne et cambre toi davantage.

  • Bien Monsieur.

Je me sentais très humiliée, la tête tournée vers le mur et mon cul bien en évidence face à ces deux hommes qui y allaient gaiement de leur commentaires. J’étais aussi très inquiète, je sentais bien que Daniel était très dominateur et que j’allais sans doute me souvenir de cette première séance de soumission. Pendant qu’il parlait, il était allé chercher Martine qui l’avait suivi à quatre pattes elle aussi et il l’avait installé à côté de moi.

Le premier coup de cravache sur la fesse droite me surprit totalement, je ne m’y attendais pas, il n’était pas très fort mais Daniel me l’avait appliqué sans prévenir.

  • Tends encore davantage ton cul salope, viens chercher les coups de cravache, montre que tu aimes ça.

  • Bien Monsieur.

Le deuxième coup arriva presque aussitôt sur la fesse gauche. Il laissa quelques secondes pour me laisser bien sentir la petite douleur qui arrive quelques secondes après le coup et aussi pour me faire attendre le suivant. Le suivant fût plus fort et provoqua un léger mouvement de l’avant de ma part.

  • Tu ne dois pas bouger sous les coups, salope, tu dois les accepter et même les demander et me montrer que tu en veux encore. Je ne veux pas non plus t’entendre réagir, tu subis et tu te tais.

  • Oui, Monsieur.

Il s’ensuivit une série de coups de cravache de plus en plus intenses. Je sentais mes fesses rougir mais, étrangement, je me sentais bien. C’était encore une révélation pour moi : j’étais aussi faite pour être humiliée et fouettée. Cette séance de cravache dura une bonne vingtaine de minutes puis Daniel s’adressa à Martine.

  • tu vas lui bonder le sexe, tu es une experte pour ça. Après je mettrais cette chienne sur la croix.

  • Oui, Maître.

Daniel me fait me redresser, m’ ordonne de retirer mon string. Martine prend un cordon et commence à m’emprisonner le sexe, j’avoue que je bande immédiatement sous l’effet de ces mains qui me tiennent le sexe ou les couilles pour les ficeler de façon très experte en effet. Cela me fait mal car je bande de plus en plus. Une fois le bondage terminé, Daniel me dirige vers la croix et m’écarte les jambes puis les bras afin de pouvoir les glisser dans les bracelets de la croix. J’ai le ventre collé à la croix, les jambes et les bras bien écartés. Il demande ensuite à Martine de m’enduire le petit trou de lubrifiant. Je me dis qu’il a décidé de m’enculer là, tout de suite, mais, en fait, il me glisse un plug dans le cul sans ménagement. Puis je sens les coups de flogger (martinet) s’abattre sur mes fesses à un rythme très régulier et sans aucune pause, d’abord doucement puis de plus en plus violemment, je ne sens plus mes fesses, elles doivent être bien rouges. A chaque coup de flogger je referme mon anus sur le plug, c’est une étrange sensation, un mélange de douleur et de plaisir, c’est infiniment agréable malgré tout et je n’ai pas le choix, je veux vraiment satisfaire Daniel et qu’Alain soit fier de moi. Je reste ainsi une bonne demi-heure sous les coups de martinet de Daniel avec un plug dans le cul et le sexe prêt à exploser dans ses liens. Parfois les coups frappent l’intérieur de mes cuisses, mon sexe ou mes couilles. je suis totalement écartelée, totalement à la merci des cet homme et sous le regard de Martine et d’Alain, je me sens vraiment un objet dont on dispose, j’aime beaucoup, je m’abandonne. Les coups s’arrêtent enfin et Daniel me détache, il me retourne et Martine me rattache cette fois le dos collé à la croix. J’ai toujours les yeux bandés et je sens une main qui m’applique des pinces sur les tétons, plus personne ne parle, je ne sais pas qui me les met. Je suppose que la personne attache ensuite des poids sur les pinces car je sens que ça tire un peu, je sens aussi une main prendre mes couilles et là aussi je sens que l’on y attache des pinces. Puis les coups de martinet reprennent sur mes cuisses et sur mon torse. Je sens vraiment à ce moment là la vraie douleur m’envahir avec les coups de martinet et la douleur des pinces. Je prie pour que cela s’arrête, là j’ai vraiment mal mais je sais aussi que je dois accepter tout cela, je n’ai vraiment pas le choix et je ne dois pas trop montrer ma douleur. Je sens même quelques larmes me venir aux yeux. Après un bon moment d’intense douleur, on m’enlève les pinces et là, c’est horrible, le sang revenant me procure une douleur atroce. Enfin on me détache et on me fait me mettre à quatre pattes tout de suite. puis Daniel me dirige vers le sling, il m’y installe, ce n’est pas facile, j’ai toujours les yeux bandés. Une fois installée dans le sling, il m’attache les chevilles et les poignets. Je suis installé dans le sling à, à peu près un mètre du sol, la tête penchée vers le bas et le cul bien ouvert. Puis j’entends Daniel dire à Martine :

  • Tu vas lui lécher le cul pendant que cette pute va me sucer, je veux que tu lui prépare bien son petit trou pour accueillir ma queue, toi le petite pute, tu vas bien me sucer pour faire grossir ma bite que tu prendras ensuite dans le cul.

Je sens la langue de Martine s’insinuer autour de ma rondelle et, en même temps, je sens la bite de Daniel se présenter à l’entrée de ma bouche, j’ai la tête renversée vers le bas, la bouche juste à la hauteur de sa bite, ce doit être confortable pour lui. Pendant que Martine me travaille bien l’anus avec sa langue et me lubrifie parfaitement, Daniel maintenant me baise vraiment la bouche, je ne peux pas bouger et je n’en ai surtout pas envie, je prends cette bite dans ma bouche avec un plaisir extrême. Je suppose qu’Alain est en train de regarder ce spectacle. La bite de Daniel pénètre vraiment bien au fond de ma gorge, j’ai toujours les yeux bandés et le sexe emprisonné, je ne bande plus mais cela ne m’étonne plus, depuis quelques semaines je n’éprouve plus de réel plaisir avec mon sexe, seulement avec ma bouche et mon cul. Daniel se retire de ma bouche, il dit à Martine d’arrêter et je sens sa bite se présenter à l’entrée de mon cul, il me pénètre facilement, je suis bien humide, il peut m’enculer bien au fond tout de suite. Il commence à me ramoner frénétiquement, au même moment je sens une autre queue se présenter à l’entrée de ma bouche, je l’ouvre et accueille la bite d’Alain avec un plaisir sans limite, je suis si heureuse de retrouver cette bite que j’aime tant, je la suce amoureusement, y promène ma langue partout. Les deux hommes me baisent comme ça pendant une bonne demi-heure, je suis aux anges, je ne me sens bien que dans cette situation, une bite dans la bouche, une autre dans le cul. Le deux hommes jouissent en même temps, je les entends pousser un râle de plaisir, Daniel dans le préservatif dans mon cul, Alain dans ma bouche. Je prends ce sperme tout chaud dans la bouche comme un cadeau de mon maître, je le garde un petit moment dans la bouche puis je l’avale avec délectation. Je restais comme cela quelques minutes, parfaitement heureuse, détendue après cette réelle souffrance et vraiment heureuse d’avoir satisfait ces deux hommes avec ma bouche et mon cul. Alain m’enleva le foulard des yeux et m’aida à me relever, Martine défit les liens sur mon sexe. Alain me remit mon manteau de fourrure puis dit au revoir à cs amis. Sur le chemin du retour, Alain me dit une fois encore qu’il était très fier de moi, que j’apprenais vite, que je n’avais, semble t-il, aucune limite et que je l’étonnai à chaque fois. J’étais si fière qu’il soit content de mes prestations.

mar 142016

Un plug dans le cul

Un plug dans le cul

CHAPITRE 5

Dans les toilettes publiques


Résumé du chapitre 4 « Ma première séance de dressage » : Alain m’a emmené chez un couple d’ amis à lui dont la femme est soumise et l’homme très dominateur. J’ai subi ma première séance de dressage sous les coups de Daniel puis les deux hommes m’ont baisée par tous mes trous comme cela m’arrive souvent depuis quelques temps.

Dans la voiture du retour, Alain me dit :

  • Tu sais que je suis très fier de toi, petite pute, dès notre première rencontre j’ai vu que tu avais un réel potentiel de soumise et que tu aimais beaucoup la bite. je t’ai mise à l’épreuve dans deux situations et tu as été parfaitement à la hauteur, au-delà même de mes espérances, tu t’es exhibée sans aucune pudeur, tu as reçu les coups de cravache, de martinet et la fessée sans broncher, j’ai vu que tu souffrais avec les pinces mais tu as su ne pas le montrer. Tu as pris les bites que je t’ai proposé dans la bouche ou dans le cul en montrant à quel point tu aimais ça. Je me rends compte aujourd’hui que tu es vraiment faite pour la bite, je vais pouvoir passer à une autre phase de ton éducation, nous allons s’occuper de tous ces contacts que tu prends depuis quelques jours sur internet. Tous ces hommes qui veulent te baiser vont se décourager et penser que tu es une petite fantasmeuse qui ne concrétise jamais en passant au réel et qui se contente de jouer les allumeuses derrière son écran comme il en existe beaucoup sur le net. Tu vas montrer à tous ces hommes que tu es une vraie pute et qu’il suffit de me demander pour pouvoir te baiser. Plusieurs hommes m’ont contacté après que tu leur ai dit qu’il fallait voir avec moi pour pouvoir t’utiliser. Nous allons donc passer au stade suivant, je veux pouvoir disposer de toi quand j’en ai envie, pour cela, tu vas me donner ton emploi du temps de tes cours, tu devras aussi me prévenir deux jours à l’avance si tu as un empêchement. Pour le reste du temps, tu devras te tenir prête et disponible, tes tenues de pute dans un sac. Si je t’envoie un SMS, tu dois être prête en une demi-heure en bas de chez toi, lavement fait, tu me donneras ton adresse, je sais que tu vis chez tes parents, je serai discret. A partir de maintenant tu dois te tenir à ma disposition, il est possible aussi que je t’envoie un SMS te demandant de te présenter à l’adresse d’un homme, je te ferai alors un compte rendu de ce qu’il attend de toi et de ce qu’il compte faire avec toi. A ton retour tu me feras immédiatement un compte rendu par mail si je ne suis pas allé avec toi, je demanderai aussi à l’homme ou aux hommes s’ils sont contents de ta prestation, s’il ne le sont pas tu seras punie. Ah, une dernière chose, je décide aujourd’hui de te prendre complètement comme soumise, dorénavant tu appelleras les autres hommes « Monsieur » et moi, tu m’appelleras « Maître ».

  • Bien Maître, je suis si heureuse, je suis à votre disposition et je vous promets de ne pas vous décevoir.

  • Très bien, salope. Dans quelques temps, je prendrai une chambre d’hôtel et je passerai une annonce sur des sites de rencontres homos à peu près rédigée comme cela : « Maître met sa pute travesti à la disposition des hommes à l’hôtel B and B de Brest Kergaradec lundi 21 mars de 19H à 4 H du matin. Elle vous attendra en bas noirs, porte jarretelles, string, bustier, cuissardes, perruque, maquillée très pute à quatre pattes sur le lit les yeux bandés, le cul offert. Vous pourrez utiliser sa bouche ou son cul comme vous voudrez. Elle suce sans capote et se fait prendre avec. Venez nombreux. » Je mettrai bien sûr une ou deux photos de toi et de ton cul sur l’annonce.

  • Très bien Maître.

Alain me dépose chez moi, je suis très fatiguée, je ne sens plus mon corps mais je sens par contre encore mes fesses, arrivée dans la salle de bain, je regarde mes fesses, en effet elles sont bien rouges. je prends une douche et je m’endors aussitôt. J’ai demandé à Alain s’il pouvait me laisser deux semaines sans trop d’activité sexuelle, je suis en plein examen et, avec ma nouvelle vie et tout ce que je viens de vivre et de découvrir, j’ai un peu délaissé mes études. Il accepte en me disant qu’il m’ ordonnera quand même plusieurs fois durant ces deux semaines de me mettre à sa disposition pour une heure ou deux, mais juste lui.

Durant ces deux semaines, je me plonge à fond dans mes révisions, c’est très difficile car je pense tout le temps à Alain, à ce qu’il veut faire de moi, je pense aussi très souvent à la bite, à celle d’Alain mais aussi à celle des hommes qui m’ont baisé depuis mon dépucelage et à tous ceux qui me baiseront par la suite.

Alain m’a envoyé un SMS plusieurs fois durant cette période, pour me voir mais aussi, je pense, pour me tester afin de voir si j’étais vraiment capable de me mettre à sa disposition en une demi-heure.

La première fois, je reçus un SMS m’ordonnant d’être une demi-heure plus tard dans des toilettes publiques tout près de chez moi, je devais venir en dessous de pute, maquillée, en escarpins avec mes vêtements de garçon par dessus. Je devais m’enfermer dans la cabine du fond, retirer mes vêtements de garçon et attendre assise sur la cuvette.

Les toilettes étaient un peu glauques avec des tags, des mots obscènes et des numéros de téléphone sur tous les murs. Je me déshabillais en ne gardant que mes bas noirs, un porte jarretelles rouge, un string rouge, un bustier rouge et mes escarpins de douze centimètres de talon. je m’installais sur la lunette des toilettes, non sans quelques réticences à cause de l’état du lieu.

On frappe à la porte, j’ouvre, Alain rentre. Je suis assise sur les toilettes, il ne dit pas un seul mot, il me présente le haut de son pantalon face à mon visage, il est à vingt centimètres de moi. Je devine immédiatement ce qu’il attend de moi sans avoir dit un seul mot. Je défais sa ceinture, j’ouvre sa braguette, je descends son pantalon. Avant de descendre son boxer, je pose mes lèvres sur son sexe encore au repos, j’y dépose d’abord quelques baisers amoureusement, je prends mon temps, je savoure même si j’ai très envie de sentir cette magnifique bite qui me fait fondre dans ma bouche. Je lèche maintenant le sexe à travers le slip qui est bien trempé. La bite d’Alain a beaucoup durcie, elle a maintenant du mal à rester emprisonnée, je la libère avec mes mains tout en la glissant dans ma bouche au fur et à mesure qu’elle sort du slip. Une fois que l’objet de mon plaisir est entièrement dans ma bouche et au fond de ma gorge, je descends le slip sur les chevilles. Tout en gardant la bite bien au fond de ma bouche, je travaille avec ma langue, je fais bien le tour du sexe, je remonte jusqu’au gland,. Je reste comme ça une dizaine de minutes puis je ressort totalement la bite, y dépose un baiser amoureux sur le bout du gland puis la reprend entièrement en bouche. Je commence de longs mouvements de va-et-vient en suçant sur toute la longueur de la bite. A ce moment là, Alain me prend la tête avec ses deux mains, il effectue un mouvement de pénétration de plus en plus violent, j’ai du mal à rester assise sous les coups de bites, il ne se pose aucune question, il se contente

de me pilonner la bouche, je sens le gland taper au fond de ma gorge. En quelques minutes, je sens les spasmes monter, le sexe tremble et Alain me crache au fond de la gorge, je garde la bite une petite minutes dans la bouche, le temps de bien la nettoyer, Alain la ressort de ma bouche, je garde le sperme quelques secondes dans la bouche puis je l’avale en fermant les yeux de plaisir. Alain se rhabille et ressort, il ne m’a pas dit un seul mot pendant tout ce temps. Je me rhabille et sors à mon tour, j’ai beaucoup aimé cette nouvelle expérience : je n’étais qu’un objet sexuel à la disposition de mon maître, il pouvait me donner rendez-vous juste pour se faire sucer, je devais être disponible et juste ouvrir la bouche sans rien dire.

Le lendemain, je reçois un mail très laconique : « Très bien ta prestation d’hier, tu as été très réactive, prête et disponible à l’heure. A partir de maintenant, je veux que tu portes en permanence un plug dans le cul afin que tu le gardes dilaté, prêt à accueillir des bites. J’ai vu que tu avais dans tes affaires un plug noir, il fera très bien l’affaire, pas trop petit pour bien te dilater, pas trop gros pour que tu puisses t’asseoir sans problème mais juste sentir que tu m’appartiens en cours ou en société. »

Quelques jours plus tard, je reçois un SMS d’Alain alors que je suis en cours : « Je sais que tu es en cours mais à la prochaine pause, tu vas dans les toilettes de la fac et tu te masturbes, tu dois te faire jouir en moins de cinq minutes ». Je comprends que par ces contraintes il veut me montrer l’emprise totale qu’il a sur moi, qu’il peut abuser de moi quand il veut ou me rappeler que je lui appartiens corps et âme. A la pause, j’obéis, je vais dans les toilettes, je me fais très vite bander et je me masturbe frénétiquement en pensant à Alain et à sa queue, je l’imagine dans ma bouche puis dans mon cul à la place du plug que je porte maintenant vingt-quatre heures sur vingt-quatre. J’éjacule en moins de trois minutes. Je ressors et retourne en cours.

Deux ou trois jours plus tard, je reçois un nouvel SMS me demandant de me trouver dans les mêmes toilettes que la fois précédente une heure plus tard. je ne pus lire le message tout de suite, j’étais en examen non programmé. Je ne vois le message que trois heures plus tard, j’envoie immédiatement un SMS à Alain pour m’excuser et lui expliquer pourquoi je n’avais pas pu me rendre au rendez-vous et pourquoi je n’avais pas pu lui répondre plus tôt. Il me répond en m’ordonnant de venir immédiatement dans un petit chemin discret près de chez moi que nous avions repéré ensemble quelques jours plus tôt. je fais mon lavement rapidement, je me maquille, je prends mon sac de vêtements et je me dirige vers le chemin. Quand j’arrive, Alain est déjà là, appuyé dehors à l’avant de sa voiture. Il me dit de me changer derrière sa voiture et de venir le rejoindre. J’avais mis mes bas, mon porte jarretelles, mon string et mon bustier sous mes vêtements de garçon avant de partir de chez moi, j’enlève mes vêtements de garçon, réajuste mes dessous, passe les escarpins et ma perruque. J’arrive près de lui. Sans un mot, il me plaque sur le capot, me plie en deux sur le capot pour bien faire saillir mes fesses, me retire immédiatement mon string , m’écarte les jambes au maximum et, là, je reçois une magistrale fessée dont je me souviendrai toute ma vie. Alain ne parle toujours pas et les coups sont extrêmement violents, à ce moment là, je n’éprouve aucun plaisir mais, au contraire, une souffrance intense, la fessée dure une bonne vingtaine de minutes et toujours de la même intensité, Alain ne se pose aucune question, il frappe. Mes fesses doivent être extrêmement rouges, j’ai très, très mal. A la fin de la fessée, Alain consent à me parler, je devine à son visage et à la violence de la fessée qu’il est très énervé :

  • Ne me fais plus jamais ce coup là, salope, quand je te fixe un rendez-vous, tu te débrouilles pour y être ou, dans un cas extrême, tu me réponds immédiatement par SMS. Ce n’est certainement pas à moi de me mettre à ta disposition, c’est toi qui dois être à mon service. Tu m’as beaucoup déçu. Si je ne peux pas disposer de toi quand j’en ai envie, on ne va pas pouvoir continuer ainsi. Moi, je cherche une petite pute docile, obéissante et toujours disponible. Nous avions convenu de ton emploi du temps, pour le reste c’est moi qui en dispose, si tu ne peux t’y soumettre, je préfère arrêter tout-de-suite.

  • Je n’ai aucune excuse Maître, je mérite entièrement la fessée que vous venez de m’infliger.

En disant ces mots, je fonds en larme, je suis si triste d’avoir déçu mon Maître.

Après ces quelques mots, Alain monte de sa voiture en me disant qu’il allait réfléchir à la suite de notre relation et qu’il me recontacterait s’il veut encore de moi. Je suis totalement effondrée, je sais que j’ai commis une grave faute et que je vais avoir du mal à me faire pardonner si j’en ai encore la possibilité. Ce n’est pas la douleur de la fessée qui me fait pleurer, c’est cet atroce sensation d’avoir déçu mon Maître.

Je n’eus plus de nouvelles d’Alain pendant un mois. J’étais très triste. Je ne savais pas s’il me faisait languir pour me faire souffrir ou s’il ne voulait plus de moi. Je continuais malgré tout à respecter ses consignes : je portais constamment un plug dans le cul, j’allais sur les sites de rencontres homos deux heures par jour mais je ne pouvais prendre aucun engagement envers tous ces hommes tant que je ne recevais pas de nouvelles de mon Maître.

A l’époque, ce n’était pas évident pour moi de me déplacer en dehors de la ville, j’avais une mobylette mais je ne pouvais que très difficilement me déplacer travestie sur cet engin, avec manteau de fourrure et en dessous féminins, avec la perruque sous le casque, en escarpins ou cuissardes, pas facile. En ville, même problème, pas évident de se déplacer en bus dans cette tenue. J’étais en train de passer mon permis et j’attendais avec impatience de l’avoir, mes parents avaient une voiture prête pour moi, il ne me manquait plus que le permis. La fin d’année scolaire arriva, je réussis mes examens et passais en deuxième année malgré une fin d’année très perturbée par Alain et mes rencontres sexuelles régulières. J’obtins aussi mon permis de conduire, ce qui m’enchanta au plus haut point, j’allais enfin être autonome, pouvoir me rendre habillée en pute à mes rendez-vous.

mar 132016

CHAPITRE 6


Ce petit trou va beaucoup servir cette nuit

Ce petit trou va beaucoup servir cette nuit

Mise à la disposition des hommes à l’hôtel.


Résumé du chapitre 5 « Dans les toilettes publiques » : Afin de préparer mes examens de fin d’année, j’ai demandé à Alain de ne pas trop me solliciter pendant deux semaines, il a accepté en indiquant qu’il m’utiliserait quand même deux ou trois fois. La première fois j’ai du le sucer dans des toilettes publiques. La deuxième fois, il m’a envoyé un SMS et je n’ai pas pu me rendre au rendez-vous et lui répondre dans les temps, j’étais en plein examen de quatre heures. Alain n’a pas apprécié et m’a infligé une sévère correction en extérieur, une bonne fessée. Je la méritais et il a menacé de m’abandonner. Je n’ai plus de nouvelles de lui depuis un mois, je suis effondrée.

C’est le mois de juin, les cours et les examens de fin d’année sont terminés, je suis en vacances.

Un matin, je reçois un texto d’Alain. En voyant son nom s’afficher sur mon téléphone, mon cœur s’emballe, je n’y croyais plus mais je suis très inquiète avant d’ouvrir le message : me contacte t-il pour me dire que tout est finit ou reprend t-il contact pour reprendre mon éducation ? Le SMS indique : « Bonjour salope, vas voir le site de travesti, les annonces d’hier. Ton maître ». Ce dernier mot me remplit de bonheur, il est donc toujours mon Maître.

Dans les annonces d’hier sur le site de travesti, je trouve une annonce rédigée à peu près comme il me l’avait dit auparavant : « Maître met sa pute travesti à la disposition des hommes à l’hôtel B and B de Brest Kergaradec samedi 12 juin de 20H à 6 H du matin. Elle vous attendra en bas noirs, porte jarretelles, string, bustier, cuissardes, perruque, maquillée très pute à quatre pattes sur le lit les yeux bandés, le cul offert. Vous pourrez utiliser sa bouche ou son cul comme vous voudrez. Elle suce sans capote et se fait prendre avec. Vous aurez aussi à votre disposition un martinet et une cravache ainsi que des liens et des menottes si vous souhaitez la corriger. Le numéro de la chambre sera indiqué sur le tableau de bord d’une Clio grise garée devant la chambre, vous entrez sans frappez, la pute vous attendra. Venez nombreux. »

A la lecture de cette annonce, je suis totalement rassurée, Alain dispose de moi comme avant, je suis heureuse, je sens quand même dans cette annonce qu’il est encore un peu fâché contre moi pour autoriser tous ces hommes à me corriger s’ils le désirent. Une heure après le premier SMS, je reçois un nouveau message d’Alain : « Tu as lu l’annonce. Voilà le code de la chambre, tu arrives avant afin de te préparer tranquillement dans la chambre, tu mets tes dessous de pute noirs et tu te mets en position comme indiqué sur l’annonce, j’ai pour l’instant huit hommes qui viennent sûrement mais il y en aura davantage je pense, ils ont toutes les informations sur l’annonce. Ton maître ».

Le lendemain samedi, j’arrive à la chambre à dix-huit heures, je m’y prends très en avance, je veux avoir le temps de bien me préparer. Je fais mon lavement, je prends une douche, je me parfume puis j’ enfile des bas résilles, une guêpière, un string, je me maquille méticuleusement et je mets ma perruque, tours la même pour l’instant, brune mi-courte, je trouve qu’elle me donne un air très pute. Ma préparation m’a pris une heure et demie, je suis prête une demi-heure en avance, je m’installe à quatre pattes sur le lit, cuisses ouvertes. Alain arrive dix minutes plus tard. Il s’approche du lit.

  • Bonjour Maître.

  • Bonjour petite pute. Hum, belle petite croupe bien offerte. Alors salope, tu as réfléchi à ton comportement de l’autre jour ?

  • Oui Maître, j’ai bien pris conscience que j’avais fait une faute grave et que vous ne pouviez tolérer cela. Vous devez pouvoir me convoquer quand vous en avez envie, je dois me rendre disponible immédiatement ou, tout au moins vous prévenir dans la minute si j’ai un empêchement.

  • Tu ne dois pas avoir d’empêchement salope, si tu n’es pas avec moi ou à un rendez-vous fixé par moi, toutes tes pensées doivent aller vers moi et tu dois te tenir prête à tout moment, même au milieu de la nuit si je le souhaite.

  • Oui Maître.

  • J’ai déjà des contacts avec onze mecs mais il y en aura sans doute d’autres qui viendront directement. Il y en a deux qui veulent te baiser ensemble et deux autres qui veulent être seuls avec toi, je les ai programmé en fin de nuit, vers quatre, cinq heures. Moi je laisse les hommes entrer comme ils veulent, c’est à eux de voir s’ils restent si tu es en train de sucer ou de te faire enculer ou s’ils préfèrent revenir plus tard.

  • Bien Maître.

  • Tâche de ne pas me décevoir cette fois-ci, petite chienne.

  • Oui Maître.

  • Tourne ton cul vers la porte, que les mecs le voient en entrant.

  • Bien Maître.

Tout en parlant, il pose sur le lit le martinet et la cravache, deux godes de différentes tailles et un plug, il pose sur la table de nuit une boîte contenant une grande quantité de préservatifs et trois tubes de lubrifiant, il me bande ensuite les yeux, il a acheté un masque noir qui remplace le bandeau.

Nous n’attendons que deux ou trois minutes et j’entends frapper à la porte.

  • Entre, dit Alain

  • Bonsoir, tu es Alain ?

  • Oui, salut.

  • Et çà, c’est la pute que tu mets à notre disposition ?

  • Oui, elle est à toi.

  • Très bien, dis donc elle a un superbe petit cul ! C’est rare et génial de pouvoir baiser une petite pute travestie si jeune, elle n’a que dix-neuf ans, c’est ça ?

  • Oui, oui, dix-neuf ans et elle adore la bite, tu peux y aller.

J’entends l’homme venir devant moi.

  • Suce moi, salope.

  • Oui Monsieur.

Il approche sa bite de mon visage, j’ouvre la bouche, l’homme ne bande pas encore mais très vite sa bite prend des proportions agréables sous mon travail de succion. Pendant que je le suce, j’entends frapper à la porte, mon Maître discute avec l’homme à peu près dans les mêmes termes que le précédent. Comme ma bouche est déjà occupée avec une bite, je sens une main se poser sur mon cul. Elle me caresse divinement, elle s’aventure souvent entre mes jambes et me caresse aussi le sexe. Je me mets à bander sous l’effet de la caresse. La main remonte ensuite sur mes fesses, écarte le string et je sens un doigt s’introduire dans mon petit trou. Pendant ce temps je continue à sucer avec application la bite qui est maintenant de très belle taille, l’homme semble apprécier, il pousse des petits râles de plaisir. La bite est d’une si belle taille que je la suce maintenant sur toute la longueur. Je l’envoie bien au fond de ma gorge, à la limite de la suffocation puis je la retire. A ce moment j’entends frapper à la porte, un troisième homme rentre et se présente à mon maître. A ce moment je sens trois doigts pénétrer mon anus, il est maintenant bien dilaté et , après quelques mouvements, les doigts se retirent et je sens un gode se présenter à l’entrée de mon cul, il rentre tout seul, je suis maintenant bien ouverte. Je ne sens pas les mains du troisième homme, je suppose qu’il est en train de mater. L’homme que je suce dit alors :

  • Elle m’a bien fait bander la salope avec sa langue de pute, tu as raison, Alain elle adore vraiment la queue, c’est un plaisir. Tu lui as bien préparé le cul ? On peut changer, j’ai envie d’enculer cette chienne pour voir si son cul est aussi accueillant que sa bouche, je l’encule et tu viens te faire sucer.

  • OK.

Les deux hommes échangent leur place, je sens une autre bite déjà bien dure se glisser dans ma bouche, elle a un léger goût sucré très agréable. Je sens que l’on me retire le gode du cul sans ménagement et aussitôt je sens une bite se présenter à l’entrée, elle n’a aucun mal à entrer, je suis totalement ouverte. L’homme me prend les reins de ses deux mains et commence à me baiser violemment, il ne se pose pas de questions, il tape fort au fond de mon cul. L’homme que je suce m’a pris la tête à deux mains, il me baiser la bouche assez violemment lui aussi. A ce moment je sens deux autres mains se glisser sur mon sexe qui est toujours en érection, ce sont les mains du troisième homme, il commence à me masturber frénétiquement. Je jouis très vite. Cela me gène un peu mais mon Maître ne dit rien. Je vais alors découvrir une sensation que je n’avais encore jamais connue. Je pense être comme tout le monde, une fois que j’ai joui, l’excitation retombe. Or là, je n’ai pas le choix, même si j’ai joui, je dois continuer à être la pute que ces hommes attendent et cela multiplie encore ce sentiment de n’être qu’un objet au service des hommes, cela augmente du coup mon plaisir. L’homme qui me caressait le sexe se présente alors lui aussi devant ma bouche et je dois sucer les deux bites alternativement . j’éprouve beaucoup de plaisir à passer de l’une à l’autre. A chaque coup de bite dans mon cul j’avance un peu sur chaque bite, les deux hommes ont l’air de beaucoup aimer ça. Au bout de quelques minutes les trois hommes jouissent en même temps, l’un dans mon cul dans le préservatif, l’autre dans ma bouche et le troisième sur mon visage. Comme d’habitude, je garde la semence quelques secondes dans la bouche puis je l’avale avec délice. Les trois hommes s’en vont en remerciant Alain et au moment où ils sortent, les deux amis se présentent à la porte. Alain leur dit de patienter deux minutes, le temps que je me refasse une beauté.

Nous restons seuls deux minutes seulement, Alain me félicite et m’enlève mon masque quelques instants pour que je puisse aller me laver, me remaquiller car le sperme sur mon visage a laisser des traces, remettre correctement ma perruque. Alain me remet le masque et je me replace sur le lit, le cul tourné vers la porte.

Les deux amis entrent ensuite. Ils expliquent à Alain qu’ils sont très dominateurs et qu’ils souhaiteraient être seuls avec moi pendant une heure pour me fesser et me donner le martinet pendant que j’ai une bite dans la bouche et qu’ensuite ils alterneraient leur place de nombreuses fois dans ma bouche et dans mon cul. Je me sens très humiliée, les trois hommes parlent de ce qu’ils vont faire de moi comme ça devant moi. Alain est d’accord pour les laisser seuls avec moi, il sort sur le parking pour dire aux autres hommes d’attendre ou de revenir dans une heure. Je reste donc seule avec ces deux hommes. Ils vont, en effet, me faire subir durant une heure une correction assez bruyante, on doit entendre les fessées sur le parking et même dans les chambres d’à côté. Après la correction, ils vont en effet, passer successivement et plusieurs fois chacun de ma bouche à mon cul pour enfin me retourner allongée sur le dos sur le lit et éjaculer un sur mon visage, l’autre sur mes cuisses. Je suis un peu frustrée, je n’ai pas eu de sperme dans la bouche.

Je vais comme ça me faire baiser toute la nuit, de vingt heures à six heures du matin, je crois qu’il y a eu à un moment donné six hommes ensemble dans la chambre, il y avait des queues partout. A un moment, mon Maître a glissé sa bite dans ma bouche puis il a éjaculé dans mon cul, il m’a dit que c’était lui, heureusement car j’avoue que j’aurais été incapable de m’en rendre compte. Les deux hommes qui voulaient être seuls avec moi sont effectivement venus en fin de nuit, c’était de grands sentimentaux qui m’ont beaucoup plus caressée que les autres. Je n’étais pas capables de dire combien d’hommes m’ont baisée. Mon Maître me dit plus tard qu’il n’avait pas vraiment compté lui non plus mais qu’il devait y en avoir à peu près vingt.

Vers six heures du matin, mon Maître a quitté la chambre en me disant qu’il était très fier de moi et que, tout au long de cette longue nuit de baise, j’avais su me faire pardonner mon erreur de deux mois auparavant. Il acceptait donc de me reprendre en main, il me dit aussi que je pouvais garder la chambre jusqu’à midi. J’étais très fatiguée, et ne sentais plus mes jambes et mon cul, je pris une douche et dormis à peu près cinq heures. En me réveillant j’étais très heureuse, j’appartenais à nouveau à mon Maître, j’avais satisfait une vingtaine d’ hommes durant la nuit, j’avais pris de nombreuses bites dans la bouche et dans le cul, je retrouvais ainsi mon statut de pute travestie au service des hommes qui me convenait tant.

mar 122016

Nicole4CHAPITRE 7

Dans une boutique de lingerie puis au sex-shop

Résumé du chapitre 6 «  Mise à la disposition des hommes à l’hôtel» : Mon maître Alain a repris contact avec moi. Il a passé une petite annonce sur un site de rencontre pour me mettre à la disposition des hommes dans une chambre d’hôtel. Durant cette nuit, je me suis faite baiser par une vingtaine d’hommes qui ont utilisé ma bouche et mon cul à tour de rôle et souvent à plusieurs ensemble.

Avant de quitter la chambre d’hôtel, Alain m’avait donné trois cent euros en ma disant qu’il avait demandé une participation financière de dix euros à chaque homme. Il voulait qu’avec cet argent je m’achète des dessous de pute mais, comme toujours il fixait des conditions afin que je ressente bien mon statut de soumise et aussi dans le but de m’humilier encore davantage : je devais aller dans un magasin de lingerie féminine de Brest et bien préciser à la vendeuse que c’était pour moi. Il me dit qu’il connaissait la patronne et qu’il lui demanderait si je l’avais bien précisé, je ne savais pas si c’était vrai mais je ferai ce qu’il m’avait ordonné, je ne voulais pas subir une autre correction. Cette nouvelle accentua encore la sensation que je ressentais de plus en plus d’être une vraie pute, j’apprenais aujourd’hui que les hommes payaient pour me baiser. Le fait que ce soit une petite somme renforçait encore ce sentiment que les hommes pouvaient me baiser pour une somme dérisoire.

Ne voulant pas faire attendre mon Maître ou le décevoir une fois encore, j’allais dès le lendemain dans le magasin de lingerie. J’étais très fébrile au moment de franchir la porte de la boutique. Il y avait deux vendeuses à l’intérieur et une seule cliente. Alain m’avait fait la liste de ce qu’il voulait que j’achète : un corset rouge et noir à lacer dans le dos, une nuisette transparente noire, un porte jarretelles rouge et trois ou quatre strings blanc, noir et rouge. Il voulait aussi que je prenne si j’avais assez d’argent une tenue complète rose. Je passais dans les rayons très gênée, j’essayais de ma rassurer en me disant que les vendeuses devaient penser que je regardais les dessous pour ma femme. Mais l’une des vendeuses que je soupçonnais être la patronne s’approcha de moi.

  • Bonjour monsieur, puis-je vous aider ?

  • Oui je crois, je recherche quelques dessous, c’est pour moi.

  • Ah, vous êtes Nicole ?

  • Oui.

  • Alain m’a annoncé ta visite, appelle- moi Madame.

  • Bien Madame. Dis-je en pensant qu’elle aussi devait être plutôt dominatrice.

  • Il t’a fait une liste je crois.

  • Oui Madame.

  • Montre moi ça.

  • Voilà Madame.

  • Hum, tout cela doit pouvoir t’aller à ravir. Alain m’avait prévenu mais en effet tu sembles avoir un corps très féminin.

  • Suis moi, je te montre. Que portes tu sous tes vêtements de garçon ?

  • J’ai un string noir Madame, et Maître Alain me fait porter en permanence un plug dans le cul.

  • Bien ça. Tu prends tout ce que je t’indique. En cabine tu retires tes vêtements de garçon, tu garde ta culotte et ton plug. Tu n’essaies que le corset, la nuisette et ce bustier rose, on n’essaie pas les culottes bien sûr. Tu me montres tout ça ensuite.

Je me dirige vers la cabine, me déshabille et enfile le corset. Quand c’est fait, j’ouvre le rideau, la vendeuse est devant moi, elle me regarde avec insistance, me félicite sur mon corps et me dit que j’ai vraiment un corps à porter des dessous féminins. Elle me fait me retourner et commence à serrer les lacets très fort, je sens mon corps se compresser, c’est très agréable. Une fois le corset ajusté, je retourne dans la cabine et enfile la nuisette, la vendeuse est encore très satisfaite, puis je mets le bustier rose qui me va aussi très bien. Au moment de passer à la caisse, il y en a pour trois-cent- vingt euros, la patronne du magasin me dit qu’elle me fait cadeau des vingt euros ; c’est, dit-elle, pour plaire à Alain et du fait qu’elle ait beaucoup apprécié cette séance d’essayage très particulière.

Pendant plusieurs semaines, Alain n’a pas organisé d’autres plans pour me mettre à la disposition des hommes. Comme je suis en vacances, nous communiquons beaucoup directement sur le chat du site de rencontres homo. Lui, par contre travaille donc, en moyenne il me fixe rendez-vous tous les soirs pour juste se faire sucer ou me baiser. Un fois, il me fait retourner dans les toilettes publiques juste pour le sucer, comme la première fois sans un mot. Mais la plupart du temps, il me donne rendez-vous dans le petit chemin très discret où il m’avait convoqué pour m’infliger ma fessée. Il arrive avec une petite couverture, je le suce et il me baise pendant de longues heures parfois, au soleil du mois de juillet. Il me fait venir chaque jour avec une tenue nouvelle, il veut me voir et me baiser avec chacune, il prend aussi une photo de moi dans chaque tenue.

Quelques temps plus tard, Alain me fait vivre une autre façon de m’exhiber et de sucer des bites, parfois aussi de me faire enculer. Un soir sur le net, il m’ordonne d’aller dans un sex-shop, rue Saint-Marc à Brest, il y sera lui aussi. Je dois arriver maquillée avec ma perruque dans un sac. Je dois louer un film et le visionner sur place. Il y a des cabines pour les projections individuelles. Une fois dans la cabine, je dois fermer la porte, me préparer avec mes bas noirs, un petit porte jarretelles noir, le corset rouge et noir, une petite culotte noire, je dois mettre mes escarpins et ma perruque.

Le lendemain, j’arrive au sex-shop, je loue un film de travesti, je vais dans ma cabine et me prépare. Il y a des trous ronds à droite et à gauche de la cloison qui me sépare de mes voisins, des « glory holes », je devine tout-de-suite à quoi ils servent. Alain m’a dit qu’une fois prête, je dois tapoter sur les deux cloisons. Je fais ce qu’il m’a dit. Dès que j’ai tapoté sur les cloisons, je vois apparaître une bite dans chaque trou, elles ne sont pas en érection et dépassent à peine de la cloison. Je sais ce qu’il me reste à faire. Ce n’est pas facile de les prendre chacune leur tour en bouche mais au contact de mes lèvres et de ma langue, elles grossissent très vite. Les deux bites dépassent maintenant d’une quinzaine de centimètres de chaque trou, je peux bien les prendre en bouche, je passe de l’une à l’autre, je masturbe une pendant que l’autre est dans ma bouche. C’est si bon de sucer sans savoir qui je suce. je suis aux anges avec ces deux belles bites bien tendues à portée de ma bouche, je passe de l’une à l’autre en me délectant, de temps en temps je pose juste mes lèvres sur le bout et titille de la langue, à d’autres moments je pose bien mes lèvres sur le bout du gland et je descends doucement le long de la queue pour finir les lèvres collées à la cloison, le bite bien au fond de ma bouche et je promène ma langue tout autour du gland. Je sens souvent les hommes réagir, ils sont surpris de ce que je peux leur faire mais j’aime tellement cela que je ne veux pas que ça s’arrête. Pourtant, au bout de quelques minutes, je sens la bite de l’un deux s’agiter de spasmes, je sais qu’il est en train de se retenir, je redouble d’efforts, je le suce de plus en plus vite et il explose dans ma bouche. C’est un véritable cadeau pour moi, je garde le sperme quelques secondes en bouche pour en apprécier le parfum puis je l’avale, j’adore toujours autant cela. L’homme a joui sans même savoir qu’il se faisait pomper par une pute travesti. Pendant que le premier jouit dans ma bouche, je masturbe le second, après avoir avalé le sperme, je reprends la deuxième bite en bouche, bien décidée à lui faire subir le même sort. A ce moment, on frappe à la porte, j’ouvre, c’est Alain, je ne sais pas comment il a fait pour savoir que j’étais là, il ne faisait pas partie des hommes que j’ai sucé, une bite est toujours dans ma bouche et je crois que j’aurais reconnu l’autre si c’était celle de mon maître. Il entre dans la cabine et laisse délibérément la porte ouverte.

Quand je choisissais le film à regarder, j’avais compté six ou sept hommes dans le sex-shop plus ceux qui sont dans les cabines. Dans un autre temps, j’aurai été gênée d’être comme ça habillée en pute à la vue de tout le monde, maintenant et après tout ce que mon maître m’a déjà fait subir en quelques mois je n’ai plus aucune inhibition, je n’ai plus aucune fierté. Je suis un objet sexuel au service des hommes, je suis fière de me montrer. Alain me fait quitter la bite que j’ai dans la bouche, il me place contre l’écran, le cul bien tendu face à la porte et commence à me peloter sans retenue, la cabine n’est pas très grande mais au bout de quelques minutes je sens au moins trois paires de mains qui me pelotent, certaines m’emprisonne le sexe à travers le string, d’autres me caressent les fesses, je sens des doigts s’insinuer dans mon anus.

Puis, mon Maître me demande de retirer ma culotte, j’obéis. Je sens que l’on applique quelque chose de froid sur mon petit trou, je devine qu’il s’agit de lubrifiant. Je vais me faire enculer. Ce n’est pas Alain, il est à ma droite, il y a un autre homme à ma gauche qui me pelote lui aussi. Je sens une bite se présenter à l’entrée de mon cul, Alain et l’homme à ma gauche prenne chacun une de mes jambes et l’écarte au maximum. Ainsi ouverte, l’homme derrière moi en profite pour entrer sa bite dans mon cul, elle entre facilement même si elle est de belle taille. Je dois commencer à être bien élargie avec toutes les bites que je prends dans le cul depuis quelques mois.

L’homme me pilonne sans ménagement pendant que les deux autres me tiennent. Il me baise comme cela pendant un bon quart d’heure, j’adore, je me rappelle de mes premières bites qui me faisaient un peu mal, maintenant elles rentrent toutes seules, je n’éprouve plus que du plaisir. Il finit par exploser dans mon cul, toujours dans le préservatif. Je suis à chaque fois très fière quand un homme jouit en moi, dans ma bouche ou dans mon cul. Il se retire et un autre prend aussitôt sa place, il devait être en train d’attendre en matant. Il a une plus petite bite mais il me baise divinement, il jouit assez vite et moi aussi, sous ses coups de bite, je jouis sans bander, cela m’arrive de plus en plus souvent, j’adore.

L’homme se rhabille et s’en va aussitôt. Alors Alain me fait me mettre à genoux face à lui, je sais tout de suite ce que j’ai à faire, j’ai l’habitude maintenant. Je défais sa ceinture, défais les boutons de sa braguette, plonge la main dans le slip et en sors la bite déjà en érection, je la prends aussitôt en bouche. Je devine maintenant très vite ce que mon maître attends de moi, là il y deux autres types qui matent, il veut donc jouir très vite dans ma bouche. Je prends sa bite bien au fond de ma gorge et je fais de longs va-et-vient sur toute la longueur de cette queue dont je suis depuis un moment déjà tombée amoureuse. Les deux autres hommes me regardent sucer Alain en se masturbant. Je vais très vite et très à fond et, en quelques minutes, Alain gicle son sperme dans ma bouche. Comme à chaque fois, je lu nettoie bien la bite avec ma langue, je garde le sperme en bouche pour savourer, Alain se retire de ma bouche. Je me tourne alors vers les deux hommes, j’ouvre la bouche pour la leur montrer remplie de sperme puis j’avale avec délectation. Alain me dit de refermer la cabine sur moi, de me rhabiller et de partir, il part lui aussi.

mar 112016

Nicole9CHAPITRE 8


Mise à la disposition de tous dans un club à Guingamp.


Résumé du chapitre 7 «  Dans une boutique de lingerie puis au sex-shop» :Alain a exigé de moi que j’aille m’acheter des dessous féminins dans une boutique de lingerie (jusqu’à présent j’achetais sur internet, ça m’évitait d’avoir à expliquer que c’est pour moi). Là, Alain a exigé que j’aille en boutique et que je dise bien à la vendeuse que c’est pour moi. Je l’ai fait bien sûr, j’ai obéis et la vendeuse a paru très amusée par la situation. Ensuite Alain m’a convoqué dans un sex-shop où j’ai du sucer quelques bites et me faire baiser par deux hommes à la vue de tous les clients présents.

Il s’est passé plusieurs mois durant lesquels je suis devenue entièrement soumise à Alain, j’étais à sa disposition, il disposait totalement de moi, il m’a remise plusieurs fois à la disposition des hommes dans les toilettes publiques à Saint-Marc ou au sex-shop. Il m’envoyait un SMS ou me fixait rendez-vous sur internet et j’obéissais en me rendant immédiatement disponible. Il m’est arrivé deux ou trois fois d’arriver en retard au rendez-vous et là, comme le première fois, j’ai reçu une fessée magistrale. Je comprenais très bien cette correction, je la trouvais totalement justifiée, Alain ne devait pas avoir à m’attendre, j’étais soumise, je devais obéir et être très réactive. Plusieurs fois aussi il avait pris une chambre d’hôtel et passé une annonce pour me mettre à l’abatage. A chaque fois il y avait eu une moyenne de vingt hommes qui avaient utilisé ma bouche et mon cul durant toute la nuit. A la fin de chacune de ces nuits, vers six heures du matin, j’étais totalement épuisée mais si heureuse, heureuse parce que je ne pouvais vivre sans une bite dans la bouche ou dans le cul et heureuse car je voyais que mon Maître était fier de moi. Je continuais à porter en permanence un gode dans le cul, je ne le retirais que pour aller aux toilettes ou pour me faire enculer. Alain avait d’ailleurs changé la taille de mon gode, j’en portais maintenant un plus gros. Il m’avait dit qu’il voulait me dilater un peu plus le cul de façon définitive pour que les bites entrent sans difficulté et sans lubrifiant et que, plus tard, il me ferait porter un rosebud ( petit plug bijou ).

J’avais maintenant une liste de clients assez longue gérée par Alain, cette liste était constituée d’une centaine d’hommes, certains m’avaient baisée plusieurs fois, d’autres une seule fois. Alain avait même une liste d’habitués qui me baisaient en moyenne une fois par semaine.

Depuis quelques jours, Alain est en contact par internet avec un couple qui se rend une semaine plus tard dans un club de Guingamp dans les Côtes d’Armor pour une soirée SM. Cette soiré est très particulière : seuls les couples sont invités et chaque couple doit venir avec en plus un soumis ou une soumise. Le couple a contacté Alain sur un site internet après que ce dernier ait mis une annonce pour informer les hommes qu’il mettait sa pute travesti à leur disposition. Le couple, n’ayant pas de soumis ou de soumise l’avait contacté pour savoir s’il pouvait mettre sa pute à leur disposition. Alain avait accepté même si, il me l’avait dit, il n’aimait pas trop cela puisqu’il ne pourrait être présent, mais comme l’idée de me prêter à d’autres lui plaisait il accepta. Il avait exigé de moi que je lui rédige ensuite un rapport très détaillé de cette nuit. Cela me semblait une évidence.

La semaine suivante, je me retrouvais donc à l’adresse donnée par le couple, il s’agissait de Françoise et de Louis. Je savais que c’était surtout Madame Françoise qui était très dominatrice. Elle avait exigé que je sois habillée exclusivement de latex. Depuis quelques mois, Alain m’ayant beaucoup prostituée, il avait collecté un petit pécule qui lui avait permis de m’acheter plusieurs tenues de pute et en particulier une tenue en latex puisque plusieurs de mes clients le réclamaient.

Ce soir la je porte donc des bas noirs en latex, une guêpière et un string en latex noir, des cuissardes en vinyle, je porte aussi un collier en cuir assez large avec un anneau. Je porte ma perruque brune mi-longue et je suis maquillée assez pute comme toujours. Par dessus tout ça, je porte une veste en vinyle assez courte qui m’arrive juste sous les fesses, quand je marche dans la rue, on voit donc mes jarretelles dépasser de la veste. Heureusement que je peux me garer assez près de l’entrée du club. Au bout de quelques minutes, je vois une femme et un homme se diriger vers ma voiture, la femme frappe à la vitre, me demande si je suis « Nicole », après le lui avoir confirmé, elle me dit qu’elle est « Madame Françoise » et me présente Louis. C’est une femme très pulpeuse avec, je devine, quelques belles rondeurs sous sa longue veste de cuir. Elle me dit de sortir de ma voiture et attache aussitôt une laisse à mon collier. Elle me conduit ensuite comme cela sur une trentaine de mètres sur le trottoir jusqu’à l’entrée du club. Nous entrons. Le patron, à l’entrée nous laisse passer après les présentations d’usage et après s’être assuré qu’il s’agit bien d’un couple et de leur soumis. L’éclairage est assez faibles, dans les enceintes on entend la musique d’Enigma. Madame Françoise me dirige par la laisse dans une salle ou j’aperçois une croix de Saint-André, un carcan et divers appareil de suspension. Il y a déjà pas mal de monde dans le couloir et dans la salle, les gens présents nous regardent passer et j’entends quelques commentaires du style : « c’est un travesti soumis » ou «  elle a l’air d’une belle salope ». Dans la pièce il y a déjà deux soumises attachées en laisse à un crochet dans le mur et un homme attaché sur une table en bois avec le sexe emprisonné dans une cage et des pinces aux tétons et aux testicules. Ma maîtresse d’un soir me retire ma veste de vinyle, me met un bandeau sur les yeux et m’attache juste par les poignets à une barre située en hauteur. Je suis ainsi attachée les bras en l’air, les jambes légèrement écartées à la vue et à la disposition de tous. Quelques secondes après, un premier coup de cravache s’abat sur mes fesses, je ne sais même pas qui me l’a donné, ça peut être Madame Françoise comme ça peut être n’importe qui. Puis les coups s’enchaînent. Il doit y avoir deux personnes derrière moi, j’entends leurs commentaires :

  • Dis donc, elle a un beau cul cette petite salope !

  • Oui et tu as vu, elle a un plug dans le cul, elle est arrivée comme ça.

  • J’aime beaucoup sa tenue en latex, elle fait vraiment très pute.

  • Oui, et elle doit avoir l’habitude de se faire fouetter, elle réagit sous les coups juste comme j’aime, un peu pour bien me montrer qu’elle a mal et pas trop pour m’indiquer que je peux continuer, elle est vraiment bien dressée cette chienne, c’est un plaisir de la corriger.

  • Oui je vois ça, ses fesses deviennent juste un peu rouge comme il faut.

Je comprends alors à leur discussion que c’est un homme qui me corrige. Il reprend la correction, de temps en temps il arrête la cravache et me donne la fessée de ses mains, il s’amuse aussi à remuer le plug dans mon cul, le sort et le rentre. J’entends de plus en plus de dialogues autour de moi, il doit maintenant y avoir plusieurs personnes à me mater. Tout-à-coup, je sens deux doigts me prendre les tétons et on y met une pince sur chacun. Je sens aussi qu’on y accroche des poids. Puis la main descend vers mes couilles et y place aussi deux pinces sur lesquelles est aussi attaché un poids, c’est assez lourd, je sens mes couilles vraiment étirées vers le bas. La douleur des pinces ajoutée à celle de la cravache ou de la fessée devient difficile à supporter, je savais que j’allais souffrir ce soir mais ça commence très vite. Je suis toujours attachée, les bras tendus vers le haut, les yeux bandés, les jambes écartées, un plug dans le cul, des pinces aux tétons et aux testicules et, ainsi maintenue sous la cravache et la fessée et aux yeux de tous, je me sens totalement soumise, j’adore même si j’ai mal et je pense à mon Maître, je sais qu’il serait fier de moi. Cette pensée m’aide à trouver du courage à supporter les coups qui sont de lus en plus violents. L’homme s’arrête enfin et me laisse comme ça, attachée avec mes pinces. Il m’est difficile de dire combien de temps je reste là, une heure à peu près je pense. Les pinces me font maintenant horriblement mal et j’ai aussi mal aux jambes. Durant tout ce temps, j’entends d’autres personnes souffrir sous les coups autour de moi, des femmes surtout. De temps en temps, quelqu’un passe à côté de moi et me donne une dizaine de fessées.

Enfin, Madame Françoise arrive en me disant : « Alors petite chienne, tu t’es bien faite corrigée hein ! En tous cas Alain avait raison, il m’a dit que tu es une bonne salope bien dressée et qui sait recevoir les coups, c’est un plaisir de te voir réagir sous les coups, j’ai beaucoup aimé ce que j’ai vu », elle me retire les pinces, ça me fait horriblement mal pendant quelques minutes puis la douleur diminue mais restera présente plusieurs jours, je le sais. Elle me détache, je ne sens plus ni mes bras, ni mes jambes. Elle me reprend par la laisse et me conduit dans une autre pièce où là encore j’entends beaucoup de gémissements de femmes. Elle me dit de retirer ma culotte, elle me retire mon plug puis m’assoit sur une chaise un peu froide, elle m’attache les chevilles aux pieds de la chaise, les poignets aux accoudoirs et la tête au dossier, je suis très inquiète, je me demande ce qui va m’arriver mais je suis un peu rassurée en sachant que je vais être assise. A ce moment là j’entends un petit moteur électrique démarrer sous mes fesses et aussitôt je sens un objet de la taille d’une bite se présenter à l’entrée de mon cul. Je devine alors que Madame Françoise m’a fait m’asseoir sur une machine à baiser. Je remue un peu les fesses pour permettre au gode de trouver l’entrée de mon petit trou. Voilà, il est maintenant bien rentré, Madame Françoise accélère alors la cadence, la machine se met alors à me pilonner de façon très rapide. J’entends des voix autour de moi commenter ce qu’ils voient mais je ne vois rien, j’ai toujours les yeux bandés. A ce moment, je sens quelque chose se présenter à l’entrée de ma bouche, j’ai assez d’habitude maintenant pour savoir qu’il s’agit d’une bite. J’ouvre la bouche et laisse entrer l’engin de belle taille. Etant donné que je ne peux absolument pas bouger, l’homme me baise la bouche, je ne peux qu’ouvrir la bouche et promener ma langue sur le gland. Il jouit assez vite dans ma bouche, j’avale le sperme, il se retire et une autre bite prend aussitôt possession de ma bouche, elle est encore plus grosse que la précédente. J’ai du mal à ouvrir suffisamment la bouche et la bite me fait mal. Heureusement l’homme jouit très vite, je garde le sperme quelques secondes pour apprécier puis j’avale jusqu’à la moindre goutte. Je reste ensuite un bon moment sur cette chaise avec le gode qui me pilonne le cul, c’est très bon ! Je pense être restée encore une fois une bonne heure sur cette chaise puis Madame Françoise vient me détacher, me remet mon plug dans le cul puis me fait remettre mon string, puis elle me conduit à leur table où un repas sous forme de buffet est proposé, elle me retire mon bandeau puis m’ autorise à manger quelque chose rapidement. Ensuite elle m’ ordonné de passer sous la table et elle me dit de lui lécher la chatte et de sucer la bite de Louis à côté d’elle. Ils sont restés très longtemps à table, je les entends parler de leurs diverses expériences SM entrecoupé de temps en temps de petits soupirs provoqués par le plaisir que je leur procure. Je suis très contente d’entendre l’effet que fait mon travail. De temps en temps même ils commentent pour leurs amis à la même table ce que je suis en train de faire. J’avoue que je préfère largement sucer la bite de Louis que lécher la chatte de Madame Françoise. Je reste sous la table une très longue partie de la fin de nuit. Puis, vers cinq heures du matin, le couple de mes Maîtres d’un soir décide de rentrer. Je remets ma veste de vinyle, Madame Françoise me fait sortir en laisse du club puis me reconduit à ma voiture. Elle me dit qu’elle a été enchantée de ma prestations, que j’ai vraiment été à la hauteur de ce qu’Alain avait promis, au-delà même de ce qu’elle attendait et qu’elle recontactera sûrement mon Maître pour solliciter mes services à d’autres reprises.

mar 112016

Nicole8CHAPITRE 9


Grosse nuit de baise à Kéroual à Brest.


Résumé du chapitre 8 «Mise à la disposition de tous dans un club à Guingamp  » :

Un couple dominateur a contacté mon Maître Alain afin qu’il leur prête la petite pute travesti, à savoir moi, pour une soirée SM dans un club à Guingamp. Durant une bonne partie de la nuit, j’ai été attachée et j’ai du subir les sévices de plusieurs personnes présentes : être attachée, recevoir la fessée, la cravache, les pinces. J’ai aussi été posée par Madame Françoise sur une machine à baiser dont le gode m’a limer une bonne partie de la nuit. J’ai fini la nuit sous la table où j’ai du lécher le sexe de Madame Françoise et sucer la bite de son mari Louis. Après cette soirée SM en club, j’ai aussitôt fait un rapport détaillé écrit à mon Maître.

Une année entière a passé, j’ai maintenant vingt-et-un ans, j’ai réussi mon diplôme de fin d’études, ça n’a pas été facile j’ai du jongler avec mes études et les nombreuses sollicitations de mon Maître Alain. Un relation de dépendance totale s’est instaurée, il a réussi à prendre entièrement possession de ma vie. Bien sur, il y a eu quelques rates et il m’a corrigé aussitôt. Durant cette année, j’ai très souvent été mise à la disposition des hommes à l’hôtel, en sex-shop, dans le parc où j’avais rencontré mon Maître, dans un petit chemin discret, dans des soirées privées aussi. Madame Françoise a plusieurs fois sollicité mes services pour des soirées entre amis ou juste pour elle et son mari Louis. Cela fait maintenant trois ans que Maître Alain m’a pris à son service, trois ans que je suis vraiment devenue une pute travestie totalement accro à la bite des hommes, j’en ai sucé et pris des centaines dans le cul et dans la bouche. J’ai une liste de contacts d’hommes qui me baisent régulièrement impressionnante, je dois à chaque fois demander l’autorisation à mon Maître avant de leur fixer rendez-vous, parfois il exige d’être présent, parfois il me laisse aller seule au rendez-vous et je dois bien sur, après, lui faire un rapport détaillé de ce qui s’est passé.

Je ne porte plus de plug, je dois maintenant porter en permanence dans le cul un rosebud en acier avec des cristaux mauves sur le bout. Dés que je sors, mon Maître a exigé que je porte un collier qu’il a fait faire sur lequel il est écrit en grosses lettres le mot « salope ». Je suis très fière quand je le porte.

Un drame que je n’ose même pas imaginer se profile à l’horizon. Après l’obtention de mon diplôme, je passe des concours administratifs et il sera inévitable que je quitte Brest pour la région parisienne dès que j’en aurais réussi un. C’est une hypothèse que je ne veux pas imaginer et pourtant je sais que je n’ai pas le choix. Je ne sais pas du tout comment je vais faire sans mon Maître. Je suis totalement dépendante de lui et surtout, je suis totalement amoureuse de lui, c’est lui qui m’a fait découvrir la vie que je vis aujourd’hui et qui me plaît tant, c’est aussi la deuxième bite que j’ai sucé, c’est le premier homme qui m’a enculé. Je lui ai parlé de ce problème mais il n’y a aucune solution, lui ne peux quitter Brest et son travail et moi je vais devoir partir. Il a pris quelques contacts avec des dominateurs sur la région parisienne mais j’avoue que pour l’instant je ne me sens pas prête à appartenir à un autre homme qu’Alain.

Dans l’attente de cette affreuse nouvelle, Alain me fait de plus en plus tapiner, il organise toujours les soirées à l’hôtel ou parfois dans un garage où il me met à l’abatage et où les hommes paient une participation de dix ou vingt euros pour me baiser. Il a du gagner pas mal d’argent avec ça, ce qui lui permet de m’acheter assez souvent de nouvelles tenues de pute.

Ce soir, il m’a annoncé qu’il m’envoyait m’exhiber et me faire baiser dans le bois de Kéroual à Brest. La plupart du temps c’est lui que me dit comment m’habiller. Pour ce soir il m’a demandé de porter des bas résilles, ma guêpière rouge et noire, un string rouge, mes cuissardes. Il me fait aussi porter une chaîne bijou autour de la taille. Je dois bien sûr mettre mon collier « salope ». Je porte une nouvelle perruque brune qui me tombe sur les épaules. Alain m’a aussi demandé de me maquiller très pute : beaucoup de fond de teint, un rouge à lèvres très vif et persistant pour qu’il ne s’en aille pas quand je suce, du fard à paupière, de longs faux cils, les ongles vernis de rouge vif. Il me fait aussi porter une micro-jupe en vinyle qui m’arrive à peine au-dessous des fesses. Je porte un petit blouson de cuir par dessus. Nous sommes en août, il est vingt-deux heures. Je retrouve mon Maître sur le parking du parc d’exposition de Penfeld, je sors de ma voiture, il sort de la sienne, m’inspecte dans les moindres détails. Il attache une laisse à mon collier puis il écarte mon string et enlève le rosebud en disant :

  • Il vaut mieux que je te retire ton petit bijou ou bien tu vas le perdre ce soir, ma petite pute, tu vas sûrement prendre pas mal de bites dans le cul.

  • Oui Maître.

  • Nous allons aller voir sur le premier parking s’il y a des hommes puis nous irons sur celui d’en haut.

  • Bien Maître.

Je monte à côté de lui dans la voiture et nous nous dirigeons vers le premier parking, il y a cinq ou six voiture garées. Nous sortons de la voiture, Alain prend l’extrémité de la laisse et me conduit dans les premières allées du bois. Après quelques mètres, nous passons à côté d’un homme arrêté sur le bord du chemin. Il nous voit passer, mon Maître quelques centimètres devant moi et moi qui suis tirée par la laisse. Cette vue doit beaucoup lui plaire, il nous suit. Nous faisons quelques mètres et Alain ne se donne même pas la peine de chercher un endroit discret, il s’arrête sur une zone d’herbe sur le bord du chemin, l’homme nous rejoins, Alain s’adresse à moi puis à l’homme:

  • A genoux, salope.

  • Oui Maître.

  • Salut.

  • Salut.

  • Tu mets cette chienne à notre disposition ?

  • Oui, elle adore la bite, tu peux y aller, elle suce sans préservatif et avale, elle adore ça, par contre, si tu l’encules c’est avec capote.

  • Oui bien sûr.

L’homme se met face à moi, sa braguette tombe juste à hauteur de ma bouche, il défait sa ceinture, baisse son pantalon et son slip. Alain me tient toujours par la laisse, je sais tout-de-suite bien sûr ce que j’ai à faire, je prends sa bite dans ma bouche afin de la faire durcir très vite. Elle prend rapidement une belle taille. Je continue mon travail de suceuse en remuant bien ma langue tout autour du gland tout en pratiquant de longs va-et-vient. Il est maintenant très dur. Pendant que je le suce, deux autres hommes passent sur le chemin, ils ne peuvent pas me rater. Ils s’arrêtent pour mater. Les deux hommes commencent à se caresser à travers leur pantalon, puis ils baissent leur pantalon et leur slip, ils sont en érection. Ils s’approchent alors de l’homme que je suce et ils prennent à tour de rôle possession de ma bouche. Je suce ces trois queues pendant plusieurs minutes, c’est un plaisir de passer de l’une à l’autre, elles n’ont pas toutes la même taille ou le même goût. A ce moment, l’un des deux hommes arrivés après demande ^Alain :

  • Est-ce qu’on peut la baiser cette pute ?

  • Oui, bien sûr, je l’ai amené ici pour ça, elle veut toujours plus de bites, elle est complètement accro à la bite.

  • Est-ce qu’elle pend le jus dans la bouche ?

  • Oui, oui.

  • Elle avale ?

  • Oui, oui, pas de problèmes.

  • Super, on peut aller dans un coin plus discret ?

  • Oui, pas de soucis, on peut aller là-bas, sous les arbres.

  • Suis nous à quatre pattes salope.

  • Oui Maître.

Nous faisons quelques mètres, je suis mon maître à quatre pattes, de temps en temps l’un des hommes me met une claque sur les fesses. Nous arrivons sous les arbres. Alain me fait rester à quatre pattes. Les trois hommes se replacent devant moi, je lève un peu la tête pour attraper leur bite et je recommence à les sucer l’un après l’autre. Puis l’un des hommes passe derrière moi, il relève ma jupe, écarte mon string, enfile une capote et présente sa bite à l’entrée de mon cul. Il y a bien longtemps que je n’ai plus besoin de mettre de lubrifiant, je remue un peu mon cul pour l’exciter et pour bien lui montrer que j’attends sa queue avec impatience. Il m’enfile doucement, sa bite rentre toute seule et bien au fond. Il commence à me pilonner en me prenant les hanches, je suis secouée par les coups de bite et à chaque coup vers l’avant la bite que j’ai dans la bouche entre profondément. Les deux hommes baisent tour à tour ma bouche pendant que le troisième m’encule maintenant vigoureusement. Je me sens si bien dans cette position, j’apprécie autant la bite dans mon cul que celles qui passent dans ma bouche. De temps en temps l’homme qui m’encule me donne des tapes sur les fesses, j’adore. Les deux hommes s’agitent vraiment fort dans ma bouche et mon cul et les deux jouissent à peu près en même temps dans des râles assez bruyants. Ils se retirent et, comme d’habitude, je garde le sperme quelques secondes dans ma bouche pour apprécier avant de l’avaler. Le troisième homme prend alors position derrière moi et m’encule à son tour, sa bite et longue et fine, c’est très agréable, il me lime comme ça une dizaine de minutes et jouit à son tour dans mon cul dans le préservatif. Je me fais toujours baiser avec capote, beaucoup d’homme ont demandé à mon Maître de pouvoir me baiser sans capote, il a toujours refusé. Seul lui me baise depuis déjà plusieurs mois sans capote, je trouve cela tout à fait normal, je suis sa pute, je lui suis totalement soumise, il doit pouvoir éjaculer dans mon cul. J’adore sentir son sperme chaud couler à l’intérieur de mon cul. Nous attendons quelques minutes dans le bois, il n’y a plus personne, Alain décide alors d’aller voir sur le parking en haut du bois de Kéroual. En arrivant sur le parking, on voit une bonne dizaine de voitures, certains hommes sont dans leur voiture. Alain décide de se garer à l’entrée du parking, je sais qu’il se gare là pour que les hommes assis dans leur véhicule me voient traverser le parking tenue en laisse. Nous sortons, Alain prend ma laisse et me dirige vers l’entrée du bois. Dans le bois d’en haut, il n’y a pas besoin d’aller très loin, il y a une allée qui longe le parking. Mon Maître fait deux ou trois allers-retours sur l’allée, le temps d’attirer les hommes. Ceux qui étaient dans leur voiture sont effectivement sortis à notre passage. Dans l’allée il y a trois ou quatre hommes qui déambulent. Alain m’arrête en plein milieu du chemin et commence à me peloter, il soulève ma jupe pour bien montrer mon petit cul aux hommes qui se sont maintenant regroupés autour de nous. Je sens un grand nombre de main me peloter.

  • Dis-donc elle a l’air bien salope.

  • Oh oui, elle adore la bite, vous pouvez y aller les gars, elle doit tout accepter, elle sait que si elle ne me satisfait pas, je la corrige.

  • C’est bien ça, est-ce qu’elle suce sans capote ?

  • Oui, elle doit sucer sans capote, elle avale même, en plus elle adore ça, vous pouvez l’enculer aussi bien sûr mais avec capote, bien entendu.

  • Oh, là, là, génial, on va bien s’amuser.

  • Vous pouvez aussi lui donner la fessée, elle a l’habitude d’en prendre, elle n’a pas le droit de se plaindre, de toutes façons elle adore ça aussi.

  • Super, on peut aller dans un endroit plus discret ? Les flics passent régulièrement sur le parking.

  • Oui, on va aller sur la table de pique-nique au fond du bois, là on sera tranquille.

  • OK

Alain reprend ma laisse et me dirige vers la table bien en retrait dans le bois. Il y a huit hommes qui nous suivent. Arrivés sur place, Alain me retire mon blouson de cuir, détache la laisse, retire ma culotte en disant « Il faut que ton petit cul soit accessible facilement. Cette pute est à vous messieurs ». Puis il m’installe dans le bout de la table, les mains posées sur la table, le cul bien cambré.

Je sens aussitôt de nombreuses mains se poser sur mon corps, aucune partie de mon intimité n’est oubliée, je sens une main m’emprisonner les testicules et tirer dessus, j’ai un peu mal. En même temps je sens plusieurs claques s’abattre sur mes fesses et un doigt me pénétrer le cul. A ce moment là j’ai une drôle de sensation sur mon sexe. Je devine qu’un homme est en train de me sucer. Comme mon Maître ne réagit pas, je me laisse faire. Un homme se glisse sur la table et me présente sa bite, je la prends en bouche et le suce goulûment. Je sens que mon sexe a beaucoup durci, l’homme suce divinement bien, j’éjacule très vite dans sa bouche, je suis un peu honteuse. Cela m’est arrivé de temps en temps de jouir très vite et j’adore ça car après l’influx et l’excitation retombe et du coup j’ai encore plus la sensation d’être un objet sexuel, les hommes disposent de moi alors que je n’ai plus d’excitation sexuelle, c’est une jouissance psychologique que j’adore.

Je pense que durant cette soirée, les huit hommes ont utilisé ma bouche et mon cul, ils se succèdent à une cadence infernale, je suis même convaincue que plusieurs passent plusieurs fois dans ma bouche et mon cul. Je reçois aussi plusieurs fois la fessée. Les hommes se parlent, ils font des commentaires sur ma bouche et mon cul, ils disent en avance ce qu’ils souhaitent faire de moi, il s’échangent leur place en commentant, j’aime beaucoup, je me sens très pute à ce moment là. Je jouis même une deuxième fois dans la nuit sous les coups de butoir d’un homme particulièrement violent. Je pense que plusieurs hommes d’ailleurs eux aussi jouissent plusieurs fois, une fois dans ma bouche, une fois dans mon cul. Je prends beaucoup de sperme dans la bouche, j avale tout, certains ont un très mauvais goût mais je n’ai pas le choix. Je sais qu’Alain qui surveille me punira si je n’avale pas. Dans le courant de la soirée, les hommes m’installent allongée sur le dos sur la table, la bouche dans le vide et ils passent un à un dans ma bouche, dans cette position, ils peuvent vraiment enfoncer leur bite loin dans ma gorge, je suffoque parfois, ils se retirent, me laissent reprendre ma respiration puis me reprennent la bouche. Deux me jouissent dans la bouche à ce moment là. En fin de nuit, ils me mettent à quatre pattes sur l’herbe et au moins cinq d’entre eux m’enculent chacun leur tour. A la fin, je ne sens plus mon corps, je me sens complètement chienne, je ne suis plus que deux trous au service des hommes. Je pense les avoir tous fait jouir. Ils partent les uns après les autres. Quand le dernier a joui dans mon cul, mon Maître me remet la laisse et nous regagnons la voiture. Alain, comme il le fait très souvent maintenant, m’envoie chez lui. Il me fait prendre une douche. Ensuite, il me fait porter la petite nuisette transparente que j’avais acheté à la boutique de lingerie et je le rejoins dans son lit. Là, durant environ une heure je le suce puis il me baise vraiment avec amour, doucement, tendrement en me félicitant de mon comportement pendant cette soirée et en me disant qu’il est très fier d’avoir une salope soumise comme moi. Après chaque soirée où je me suis pris beaucoup de bites dans la bouche et dans le cul, c’est le même rituel, je le suce pendant une bonne heure et il me baise pendant une autre heure. Puis nous nous endormons totalement épuisés. Quelquefois, dans la nuit, il me réveille s’il a encore envie de moi.

mar 102016

La pute en string vinyleCHAPITRE 10


Humiliée par deux couples d’amis.


Résumé du chapitre 8 « Grosse nuit de baise à Kéroual à Brest.» :

Mon maître a organisé un plan « mise à disposition » au bois de Kéroual à Brest. IL m’a envoyée, tenue en laisse et habillée très pute sur les deux parkings puis nous sommes allés dans le bois où plusieurs hommes ont pu profiter de ma bouche et de mon cul comme ils le souhaitaient. J’ai été baisée violemment durant cette nuit que j’ai finie dans le lit de mon Maître Alain.

J’ai encore vécu à peu près un an avec mon Maître Alain. Durant cette année, il me fait beaucoup tapiner à l’hôtel où il demande une très légère participation financière aux hommes, dix ou vingt euros, mais comme je tapine beaucoup, cela doit lui faire quand même une belle somme, il en réinvestit une partie dans des tenues de pute pour moi mais il en garde la plus grande partie, ce que je comprends parfaitement. Comme ça, j’ai vraiment l’impression d’être une putain et Alain mon mac, j’adore cette impression ! Il me met aussi très régulièrement à la disposition des hommes au bois de Kéroual et aussi sur l’aire de repos de Saint-Servais. Durant cette période, il m’amène aussi très souvent dans deux sex-shop de Brest et aussi régulièrement dans les toilettes publiques où parfois maintenant je me fais baiser. En général, mon Maître me fait y aller seule, je dois m’enfermer dans la cabine, le temps de me préparer en pute très salope, ultra maquillée, souvent habillée de vinyl, bas, string, bustier, cuissardes. Puis, quand je suis prête, j’ouvre la porte et j’attends les hommes appuyée contre le mur. Beaucoup viennent seulement pour se faire sucer. Comme il n’y a pas beaucoup de place dans la cabine, souvent il y en a un ou deux qui attendent leur tour. Parfois je sors contre les lavabos devant afin de permettre à un homme de m’enculer pendant que je suce un autre. Mais je ne suis jamais tranquille, parfois les flics passent, je me suis déjà faite contrôler une fois. J’avoue que je n’étais pas fière. Ils m’ont envoyé au commissariat et j’ai du supporter leurs sarcasmes, c’était un moment difficile. Parfois certains de ces hommes que je suce dans les toilettes ont une hygiène douteuse, j’ai parfois du mal à prendre leur bite en bouche mais je sais que je n’ai pas le choix, mon Maître ne serait pas content s’il savait que je ne prends pas toutes les bites. Je comprends cela, je dois accepter toutes les bites, je suis faite pour ça, je n’ai pas à choisir, n’importe quel homme doit pouvoir utiliser ma bouche et mon cul. Je dois les sucer sans préservatif, je dois prendre leur semence en bouche et avaler, par contre ils me baisent toujours avec capote. Seul mon Maître, depuis déjà plus d’un an me baise sans préservatif.

Je suis aussi retourné plusieurs fois chez Madame Françoise et son mari Louis. Mon Maître me met à leur disposition à chaque fois qu’ils le lui demandent. Une fois, ils ont demandé mes services pour eux et un couple de leurs amis.

J’arrive chez eux un samedi à vingt heures, ils ont demandé à Alain que je sois totalement habillée en blanc : bas, guépière, string, seules mes cuissardes sont noires, je suis maquillée très discret, très féminin, je porte une perruque mi-longue blonde. J’ai gardé mon rosebud dans le cul. Ils habitent une maison très discrète, je dois sonner à leur porte dans cette tenue sans veste ni manteau par dessus. Je sonne, c’est Louis qui m’ouvre, il me conduit dans une pièce où il n’y a personne. Dans la pièce, il y a juste un petit bar, deux canapés et un étrange cheval d’arçon au milieu de la pièce. Il est très court avec des sangles en bas de chaque pied. Je devine tout-de-suite à quoi il sert. Louis m’installe dessus, le ventre plaqué contre l’engin, il m’attache les poignets et les chevilles étirés vers le bas aux pieds de l’appareil. J’ai la tête qui descend d’un bout et le cul bien en évidence de l’autre bout. Louis me dit qu’il redescend manger avec ses amis et qu’ils viendront s’occuper de moi dans une heure et demie. Il éteint la lumière et je reste comme ça en les attendant.

Une heure trente plus tard, les quatre amis rentrent dans la pièce, ils parlent beaucoup et assez fort, ils rient beaucoup, ils ont du bien arroser leur repas. L’homme du couple prend la parole :

  • Alors voilà la petite pute dont vous nous parlez depuis si longtemps.

  • Oui, réponds Madame Françoise, je vous présente Nicole. Nicole, je te présente Annie et Jacques.

  • Enchanté Madame Annie et Monsieur Jacques, c’est un honneur pour moi de vous servir.

  • Très bien Nicole.

  • On peut tout lui faire, reprend Madame François, c’est génial, elle accepte tout sans rechigner et elle sait te montrer que cela lui fait plaisir. Elle suce divinement bien et son petit cul est très accueillant d’après ce que disent les hommes et elle réagit super bien sous la fessée, le martinet ou la cravache.

  • Hum, super ça, on va voir ça tout de suite.

  • Hum, elle a un joli petit bijou dans le cul dis-donc, dit Annie en me passant la main sur les fesses.

Je sens aussitôt les premiers coups de cravache s’abattre sur mes fesses, c’est Madame Annie qui me frappe, les trois autres sont allés s’asseoir dans les canapés. J’ai les jambes écartées sur le cheval d’arçon et je sens parfois la cravache venir me titiller les testicules avant de s’abattre à nouveau sur mes fesses. Au bout de quelques minutes durant lesquelles Madame Annie alterne la fessée et la cravache, Madame Françoise décide de remplacer mon bijou intime par un plug relié à une petite poire afin de me dilater encore un peu plus le petit trou. Puis je sens une brûlure sur mon dos, je ne comprends pas tout-de-suite mais Madame Françoise est en train de faire couler de la bougie brûlante sur moi, les premières gouttes me font très mal puis je m’y habitue.

Les deux femmes vont comme cela pendant de longues minutes assouvir leur pulsions sadiques sur moi. Puis elles vont s’asseoir dans le canapé juste devant moi et commencer à se caresser, même si je suis plus attiré par les hommes j’apprécie le spectacle qui s’offre à moi. Mais, très vite, je ne le vois plus car Monsieur Jacques se place devant moi et me met sa bite dans la bouche. Je le suce goulûment avec délectation. Oh que j’adore sucer les bites ! Les deux hommes vont utiliser ma bouche chacun leur tour, ils bandent très fort, excités tout comme moi par la vision de leurs femmes et par mon travail avec ma langue et mes lèvres, je m’applique, je veux qu’ils soient satisfaits. Puis Monsieur Louis se présente derrière moi, dégonfle le plug, le retire et présente sa bite à l’entrée de mon petit trou, elle rentre toute seule, le plug m’a bien dilaté. Il me pénètre bien à fond et commence de rapides va-et-vient. Le cheval d’arçon vacille sous les coups de butoir de Monsieur Louis dans mon cul et de Monsieur Jacques qui me baise vraiment la bouche à présent. Pendant que les deux hommes me baisent j’entends les gémissements des deux femmes, c’est très mignon ! Puis Louis et Jacques échangent leurs places. Les deux hommes profitent de mes trous comme ça durant une bonne heure, de temps en temps ils me laissent pour aller s’occuper de leurs femmes puis ils reviennent dans ma bouche et mon cul. C’est Monsieur Louis qui jouit le premier dans ma bouche, je sens son sexe se tendre, quelques soubresauts et ce liquide tant désiré qui est projeté au fond de ma gorge, il pousse un long râle et cela a, semble t-il, pour effet d’exciter son copain qui se retire violemment de mon cul, retire son préservatif et me glisse sa bite dans la bouche encore remplie du foutre de Louis. Il jouit à son tour dans ma bouche dans un râle impressionnant. Les deux jus se mélangent dans ma bouche, j’en ai vraiment une grosse quantité, je prends mon temps pour l’avaler, je déguste, j’adore vraiment la semence des hommes. Les hommes me laissent pour aller encore un peu s’occuper de leurs femmes mais ils les laissent surtout prendre leur plaisir ensemble. Avant de quitter la pièce, Monsieur Louis me détache et Madame Françoise s’adresse à moi :

  • Tu as encore bien remplie ton rôle ce soir petite pute, êtes vous contents de ses prestations ?

  • Oh oui, elle est parfaite, une vraie petite chienne !

  • Très bien Nicole, dès que nous serons partis, tu peux partir à ton tour, je ferai mon rapport à ton Maître demain.

  • Bien Madame, je suis ravie de vous avoir satisfait.

Le lendemain, Maître Alain reçoit le rapport de Madame Françoise et me félicite, je suis si heureuse !

Malheureusement, cette vie qui me convient parfaitement ne va pas durer. Cette vie me convient parfaitement car je me fais baiser quasiment tous les jours, souvent plusieurs fois par jour, j’appartiens à un Maître très autoritaire mais juste avec beaucoup d’imagination et d’inventivité pour me soumettre et m’humilier. J’ai une liste d’environ cent hommes qui me baisent. Mais, un jour au courrier, je reçois une lettre m’informant que j’ai réussi le concours d’Inspecteur du Trésor. Je suis nommé à Evry dans l’Essonne quinze jours plus tard. Cela faisait un moment que je m’y attendais, nous en avions parlé avec mon Maître. Bien sûr, d’un côté je suis heureuse et je vais entrer dans la vie active mais en même temps je suis effondrée, je ne m’imagine pas vivre sans mon Maître et lui ne peut quitter Brest. Il a pris des contacts avec des hommes dominateurs sur la région parisienne depuis quelques semaines, il a parlé de me vendre à l’un d’eux, il y en a trois ou quatre qui seraient intéressés mais moi pour l’instant je ne me sens pas prête à appartenir à quelqu’un d’autre qu’à Maître Alain. Je sais que je n’ai pas le choix, s’il désire me donner à quelqu’un d’autre je devrais m’y soumettre. Il accepte de me laisser du temps pour m’installer à Evry, il verra cela plus tard. Je le quitte un dimanche soir, il m’a baisée tout l’après-midi et je suis effondrée au moment de le quitter. Le lendemain j’arrive à Evry.

Cela va surement surprendre mais mes activités de pute travestie vont s’interrompre totalement pendant …………… une quinzaine d’années. Progressivement, je perds tout contact avec Alain, au début nous gardons contact par l’intermédiaire d’internet, je retourne parfois en week-end à Brest et nous nous revoyons seuls tous les deux, il me baise tout le week-end mais ce n’est plus comme avant, quelque chose est cassé dû à l’éloignement surement et au fait que je ne suis plus à sa disposition. Le lien se détend et il m’apprend un jour qu’il a pris une autre soumise, ce qui est tout-à-fait normal. Durant cette longue, longue période, je vais rencontrer une femme, je vais avoir deux enfants, ma vie de pute travestie est derrière moi, je me consacre entièrement à ma famille, à mes enfants, à mon travail.

Et puis, quinze ans plus tard, je reviens dans le Finistère, cette fois-ci à Quimper, j’ai alors trente-sept ans et puis, petit à petit, mes pulsions de pute travestie reviennent, je recommence doucement mes activités,

SITE EXCLUSIVEMENT RESERVE AUX ADULTES

Selon la Loi française, la majorité est fixée à 18 ans accomplis – Article 488 al. 1 du Code civil
www.Youmebob.com
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti.
Il contient des textes, des photos et des vidéos pornographiques interdits aux mineurs, qui peuvent être choquants pour certaines sensibilités.
Il est vivement déconseillé aux personnes sensibles, fragiles et impressionnables d’accéder à ce site ; les mineurs ne doivent en aucun cas y accéder.
Je valide les données contenues dans les paragraphes ci-dessous après les avoir lues attentivement et manifeste ainsi mon accord plein et entier, en certifiant remplir toutes les conditions qui y sont contenues, en cochant les cases prévues à cet effet.

Je certifie sur l’honneur
- Etre majeur selon la Loi en vigueur dans mon pays et selon la Loi française,
- Que les Lois de mon état ou de mon pays m’autorisent à accéder à ce site et que bobtv.fr a le droit de me transmettre de telles données,
- Etre informé du caractère pornographique du serveur auquel j’accède,

Je déclare et reconnais expressément
- N’être choqué par aucun type de sexualité et par aucun texte, ni aucune image ou vidéo à caractère pornographique, et je m’interdis expressément de poursuivre les auteurs de bobtv.fr à raison des données diffusées sur ce site ou de leurs conséquences ;
- Consulter ce serveur à titre strictement personnel, et sans aucune implication, de quelque manière que ce soit, d’une société privée, d’un organisme public, ou de toute autre entité publique ou privée ;

Je m’engage sur l’honneur
- A ne jamais faire état de l’existence de ce serveur auprès de tiers et de mineurs,
- A ne jamais permettre à des mineurs d’accéder à ce serveur et à mettre en œuvre tous moyens de nature à permettre d’empêcher l’accès de tout mineur à ce serveur,
- A ne jamais diffuser tout ou partie du contenu édité sur ce serveur à des mineurs pour quelque raison que ce soit,
- A assumer ma responsabilité dans l’hypothèse où un mineur aurait eu accès à ce serveur à raison de ma négligence ou de mon imprudence (absence de protection de mon ordinateur, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité), sans recours contre bobtv.fr et ses auteurs et en garantissant d’ores et déjà bobtv.fr et ses auteurs à ce titre,
- A assumer sans réserves toutes les conséquences de toutes natures à raison de déclarations en tout ou partie inexactes, sans recours contre bobtv.fr et ses auteurs.

ICRA

Ce blog a été visité 162471 fois